Ryu Kwangsu - Le commencement important
Dieu est tout-puissant et Jesus-Christ a resolu tous les problemes. Néanmoins, meme si le monde brille en apparence, l''epoque de souffrance est réelle et les personnes sont affligées par toutes sortes de maladies, par la dépression, les problèmes mentaux et autres que personne ne peut resoudre. De plus, le monde a une facade historique, traditionnelle, et culturelle, mais en realité c'est la culture idolâtre. C'est une epoque sombre spirituellement et d'innombrables personnes se perdent completement dans les épreuves. Nous devons commencer de trois façons différentes pour sauver notre époque comme l'église primitive. Quelles sont-elles?
6 Alors les apôtres réunis lui demandèrent : Seigneur, est-ce en ce temps que tu rétabliras le royaume d'Israël ? 7 Il leur répondit : Ce n'est pas à vous de connaître les temps ou les moments que le Père a fixés de sa propre autorité.Lire la suite
1. Le commencement correct
“Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.” C''est la grace de Dieu de commencer par cette confession. Connaitre Jesus-Christ est le plus grand miracle. Dieu a donné Sa promesse de bénédictions à ceux qui confessent que Jesus est le Christ. C'est la benediction ou Il bâtit Son eglise sur la pierre, où les portes du sejour des morts ne prévalent point, et où les clés du royaume de Dieu nous sont données. Lorsque nous saisissons cette Alliance et prions, les oeuvres de Dieu commencent.
2. La plus grande promesse
Jesus a appelé, sur la montagne des Oliviers, les disciples de l'église primitive qui connaissaient et confessaient Jesus comme le Christ. Il leur a expliqué les choses concernant le royaume de Dieu pendant 40 jours, et leur a dit d''attendre la plénitude du Saint-Esprit, la plus grande promesse. Les disciples de l'église primitive ont saisi la promesse du Christ et se sont consacrés seulement à la prière. Ils ont pu alors surmonter toutes les persécutions, ont reçu la puissance pour sauver leur époque, et le royaume de Dieu est survenu sur eux. Notre arrière-plan est le royaume de Dieu. Nous n'avons rien a craindre. Là où nous allons, commençons avec les bénédictions du royaume de Dieu qui survient, et de Satan qui est lié.
3. L''experience de l''Alliance
L'église primitive a cru en l''Alliance et a donc expérimenté la puissance de Dieu manifestée comme le vent et le feu. C'est alors que la porte s''est ouverte, que 3000 disciples se sont levés, et que le culte a été ravivé. Ils ont reçu la réponse du royaume de Dieu qui survient, et ont temoigné que Jesus-Christ a resolu tous les problèmes. Nous devons uniquement nous réjouir de la plus grande grâce, la confession que Jesus est le Christ, la plus grande promesse du royaume de Dieu, et la plus grande réponse par la plénitude du Saint-Esprit. Nous devons aussi gagner la force par notre calendrier de bénédictions dans lequel nous devenons temoins de cette réponse unique.
Dans la vie d'un enfant du Dieu tout-puissant, les oeuvres doivent se mettre en place selon la promesse. Pour cela, nous devons changer nos pensées en pensées de foi.
Message 1 de la conference evangelique de Panama du 06/07/2013
Dieu est tout-puissant et Jesus-Christ a resolu tous les problemes. Néanmoins, meme si le monde brille en apparence, l''epoque de souffrance est réelle et les personnes sont affligées par toutes sortes de maladies, par la dépression, les problèmes mentaux et autres que personne ne peut resoudre. De plus, le monde a une facade historique, traditionnelle, et culturelle, mais en realité c'est la culture idolâtre. C'est une epoque sombre spirituellement et d'innombrables personnes se perdent completement dans les épreuves. Nous devons commencer de trois façons différentes pour sauver notre époque comme l'église primitive. Quelles sont-elles?

6 Alors les apôtres réunis lui demandèrent : Seigneur, est-ce en ce temps que tu rétabliras le royaume d'Israël ? 7 Il leur répondit : Ce n'est pas à vous de connaître les temps ou les moments que le Père a fixés de sa propre autorité.Lire la suite
1. Le commencement correct
“Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.” C''est la grace de Dieu de commencer par cette confession. Connaitre Jesus-Christ est le plus grand miracle. Dieu a donné Sa promesse de bénédictions à ceux qui confessent que Jesus est le Christ. C'est la benediction ou Il bâtit Son eglise sur la pierre, où les portes du sejour des morts ne prévalent point, et où les clés du royaume de Dieu nous sont données. Lorsque nous saisissons cette Alliance et prions, les oeuvres de Dieu commencent.
2. La plus grande promesse
2. La plus grande promesse
Jesus a appelé, sur la montagne des Oliviers, les disciples de l'église primitive qui connaissaient et confessaient Jesus comme le Christ. Il leur a expliqué les choses concernant le royaume de Dieu pendant 40 jours, et leur a dit d''attendre la plénitude du Saint-Esprit, la plus grande promesse. Les disciples de l'église primitive ont saisi la promesse du Christ et se sont consacrés seulement à la prière. Ils ont pu alors surmonter toutes les persécutions, ont reçu la puissance pour sauver leur époque, et le royaume de Dieu est survenu sur eux. Notre arrière-plan est le royaume de Dieu. Nous n'avons rien a craindre. Là où nous allons, commençons avec les bénédictions du royaume de Dieu qui survient, et de Satan qui est lié.
3. L''experience de l''Alliance
3. L''experience de l''Alliance
L'église primitive a cru en l''Alliance et a donc expérimenté la puissance de Dieu manifestée comme le vent et le feu. C'est alors que la porte s''est ouverte, que 3000 disciples se sont levés, et que le culte a été ravivé. Ils ont reçu la réponse du royaume de Dieu qui survient, et ont temoigné que Jesus-Christ a resolu tous les problèmes. Nous devons uniquement nous réjouir de la plus grande grâce, la confession que Jesus est le Christ, la plus grande promesse du royaume de Dieu, et la plus grande réponse par la plénitude du Saint-Esprit. Nous devons aussi gagner la force par notre calendrier de bénédictions dans lequel nous devenons temoins de cette réponse unique.
Dans la vie d'un enfant du Dieu tout-puissant, les oeuvres doivent se mettre en place selon la promesse. Pour cela, nous devons changer nos pensées en pensées de foi.
Dans la vie d'un enfant du Dieu tout-puissant, les oeuvres doivent se mettre en place selon la promesse. Pour cela, nous devons changer nos pensées en pensées de foi.
Message 1 de la conference evangelique de Panama du 06/07/2013
Ne critique pas, agis !
Ce qui suit a été relevé dans un bulletin d'information d'église, encourageant le chrétien à rester fidèlement attaché à son assemblée.
Si elle est faible, invoque sur elle la puissance de l'Esprit.
Si elle est tiède, réchauffe-la pour l'amour du Christ.
Si elle est froide, sois bouillant pour elle.
Si elle est infidèle, porte-toi responsable devant Dieu de son infidélité, intercède. Et toi, sois fidèle.
Si elle est divisée, unis-la dans la foi.
Partage la souffrance de Christ en son corps malade.
Gagne un autre de tes frères à cette lutte de la foi.
A deux ou trois vous serez plus forts et vous gagnerez les autres.
Ne critique pas, sers. Mets-toi au service de Dieu ; prêt à faire ce qu'il voudra comme il voudra.
Ne critique pas, prie.
Unis ta prière à celle de Christ, et intercède pour l'Eglise et qui se sanctifie pour elle.
Ne critique pas, confesse.
A Dieu ce péché de l'Eglise dont tu es membre, dont tu portes la responsabilité.
Ne critique pas, aime.
L'amour croit toutes choses possibles à Dieu.
Dans l'amour et dans la foi, il te sera donné de remonter le courant, et finalement le fleuve qui vient d'en-haut circulera de nouveau dans l'Eglise de Dieu.
Et toujours, souviens-toi que Dieu est celui qui peut faire pour nous beaucoup plus que tout ce que nous demandons et comprenons, par la puissance de son Esprit qui agit en nous.
58 Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, travaillant de mieux en mieux à l'oeuvre du Seigneur, sachant que votre travail ne sera pas vain dans le Seigneur.

Ce qui suit a été relevé dans un bulletin d'information d'église, encourageant le chrétien à rester fidèlement attaché à son assemblée.
Si elle est faible, invoque sur elle la puissance de l'Esprit.
Si elle est tiède, réchauffe-la pour l'amour du Christ.
Si elle est froide, sois bouillant pour elle.
Si elle est infidèle, porte-toi responsable devant Dieu de son infidélité, intercède. Et toi, sois fidèle.
Si elle est divisée, unis-la dans la foi.
Partage la souffrance de Christ en son corps malade.
Gagne un autre de tes frères à cette lutte de la foi.
A deux ou trois vous serez plus forts et vous gagnerez les autres.
Ne critique pas, sers. Mets-toi au service de Dieu ; prêt à faire ce qu'il voudra comme il voudra.
Ne critique pas, prie.
Unis ta prière à celle de Christ, et intercède pour l'Eglise et qui se sanctifie pour elle.
Si elle est faible, invoque sur elle la puissance de l'Esprit.
Si elle est tiède, réchauffe-la pour l'amour du Christ.
Si elle est froide, sois bouillant pour elle.
Si elle est infidèle, porte-toi responsable devant Dieu de son infidélité, intercède. Et toi, sois fidèle.
Si elle est divisée, unis-la dans la foi.
Partage la souffrance de Christ en son corps malade.
Gagne un autre de tes frères à cette lutte de la foi.
A deux ou trois vous serez plus forts et vous gagnerez les autres.
Ne critique pas, sers. Mets-toi au service de Dieu ; prêt à faire ce qu'il voudra comme il voudra.
Ne critique pas, prie.
Unis ta prière à celle de Christ, et intercède pour l'Eglise et qui se sanctifie pour elle.
Ne critique pas, confesse.
A Dieu ce péché de l'Eglise dont tu es membre, dont tu portes la responsabilité.
A Dieu ce péché de l'Eglise dont tu es membre, dont tu portes la responsabilité.
Ne critique pas, aime.
L'amour croit toutes choses possibles à Dieu.
Dans l'amour et dans la foi, il te sera donné de remonter le courant, et finalement le fleuve qui vient d'en-haut circulera de nouveau dans l'Eglise de Dieu.
Et toujours, souviens-toi que Dieu est celui qui peut faire pour nous beaucoup plus que tout ce que nous demandons et comprenons, par la puissance de son Esprit qui agit en nous.
L'amour croit toutes choses possibles à Dieu.
Dans l'amour et dans la foi, il te sera donné de remonter le courant, et finalement le fleuve qui vient d'en-haut circulera de nouveau dans l'Eglise de Dieu.
Et toujours, souviens-toi que Dieu est celui qui peut faire pour nous beaucoup plus que tout ce que nous demandons et comprenons, par la puissance de son Esprit qui agit en nous.
58 Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, travaillant de mieux en mieux à l'oeuvre du Seigneur, sachant que votre travail ne sera pas vain dans le Seigneur.
Si quelqu'un pèche - Watchman Nee
Références bibliques : Jn 5.14 ; 8.11 ; Rm 6.1-2 ; Nm 19.1-10, 12-13, 17-19 ;
1 Jn 1.7—2.2 Après avoir été sauvés, nous ne devons plus pécher. Jean 5 relate l’épisode oú le Seigneur Jésus a guéri un homme près de la piscine à Béthesda, qui avait été malade pendant trente-huit ans. Une fois que l'homme a été guéri, le Seigneur l'a rencontré dans le temple et lui a dit : « Voici, tu as été guéri ; ne pèche plus, de peur qu'il ne t'arrive quelque chose de pire » (v. 14).
Jean 8 nous parle du Seigneur Jésus pardonnant à une femme qui avait été prise en adultère. Au même moment, il lui a dit : « Va et ne pèche plus » (v. 11). Une fois que nous avons été sauvés, le Seigneur nous commande de ne plus pécher ! En tant que chrétiens, nous ne devons assurément plus continuer à pécher.

1 Jn 1.7—2.2 Après avoir été sauvés, nous ne devons plus pécher. Jean 5 relate l’épisode oú le Seigneur Jésus a guéri un homme près de la piscine à Béthesda, qui avait été malade pendant trente-huit ans. Une fois que l'homme a été guéri, le Seigneur l'a rencontré dans le temple et lui a dit : « Voici, tu as été guéri ; ne pèche plus, de peur qu'il ne t'arrive quelque chose de pire » (v. 14).
Jean 8 nous parle du Seigneur Jésus pardonnant à une femme qui avait été prise en adultère. Au même moment, il lui a dit : « Va et ne pèche plus » (v. 11). Une fois que nous avons été sauvés, le Seigneur nous commande de ne plus pécher ! En tant que chrétiens, nous ne devons assurément plus continuer à pécher.
PÉCHER APRÈS AVOIR ÉTÉ SAUVÉ
Un chrétien ne devrait pas pécher ni continuer à pécher. Est-il donc possible pour un chrétien de ne pas pécher ? La réponse est oui ! Il est possible pour un chrétien de pas pécher parce que nous avons la vie de Dieu en nous. Cette vie ne pèche pas. Elle ne peut tolérer aucune trace de péché. Cette vie est aussi sainte que Dieu lui-même. La vie qui est en nous nous rend très sensibles au péché. Si nous marchons selon cette vie, nous ne pécherons pas.
Cependant, il est possible pour un chrétien de pécher. Nous sommes encore dans la chair. Si nous ne marchons pas selon l'Esprit et que nous ne vivons pas selon la vie de Dieu, nous pouvons pécher à tout moment. Galates 6.1 nous dit : « Frères, si un homme vient à être surpris en faute... » Un Jean 2.1 nous dit : « Mes petits enfants, ... si quelqu'un a péché... » Il est possible pour un chrétien de pécher. Nous lisons dans 1 Jean 1.8 : « Si nous disons que nous n'avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes. » Le verset 10 déclare : « Si nous disons que nous n'avons pas péché, nous le faisons menteur. » Ainsi, notre expérience nous montre qu'il est possible pour un chrétien de tomber accidentellement dans le péché.
Si une personne qui est sauvée tombe accidentellement dans le péché, périra-t-elle pour autant ? Non ! Le Seigneur nous dit : « Je leur donne la vie éternelle ; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main » (Jn 10.28). En d'autres termes, une fois qu'une personne est sauvée, elle est sauvée pour l'éternité. « Et elles ne périront jamais. » Rien ne peut être plus sûr que cela ! Un Corinthiens 5 nous parle d'un frère qui s’était rendu coupable de fornication. Paul a dit : « Qu'un tel homme soit livré à Satan pour la destruction de la chair, afin que l'esprit soit sauvé au jour du Seigneur Jésus » (v. 5). Même si la chair d'un croyant est détruite, son esprit sera néanmoins sauvé.
Est-ce que cela signifie qu'une fois sauvé, cela n'a pas d'importance si l'on pèche ? Non ! Si une personne pèche une fois qu'elle est sauvée, cela aura deux conséquences terribles. Premièrement, elle souffrira dans cette vie. Si vous péchez après avoir été sauvé, vous subirez les conséquences de votre péché. La personne dans 1 Corinthiens 5 a été livrée à Satan. C'est une très grande souffrance. Si elle confesse son péché au Seigneur, Dieu lui pardonnera et le sang purifiera cette personne. Pour certains péchés cependant, il y a d'autres conséquences auxquelles nous devons faire face. Bien que l’Éternel ait pardonné le péché que David a commis en prenant la femme d'Urie, l'épée n'a jamais quitté sa maison (2 S 12.9-13). Frères et sœurs, le péché est comme un serpent venimeux, ce n'est pas un jouet amusant. S'il vous mord, vous en souffrirez.
Deuxièmement, si un homme pèche, il sera puni dans l'âge à venir. Si un chrétien pèche et qu'il ne traite pas le problème dans cette vie, il devra le traiter dans l'âge à venir. Quand le Seigneur reviendra : « Il rendra à chacun selon ses œuvres » (Mt 16.27). Paul a dit : « Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu'il aura fait, étant dans son Corps » (2 Co 5.10).
En dehors de ces deux terribles conséquences, il y a aussi un autre résultat immédiat du péché, qui est la rupture de la communion avec Dieu. Pour un chrétien, la communion avec Dieu est un glorieux privilège. Une telle communion est la plus grande bénédiction qu'il puisse obtenir. Cependant, si une personne pèche, elle perdra immédiatement sa communion avec Dieu. Le Saint-Esprit en elle sera blessé et la vie en elle ressentira un malaise dû à son péché. Elle perdra sa joie ainsi que sa communion avec Dieu. Auparavant, quand elle rencontrait d'autres chrétiens, elle se sentait chaleureusement attirée vers eux, mais maintenant elle ne ressent plus cette chaleur ; il semble y avoir une barrière entre eux. Auparavant, la prière et la lecture de la Bible étaient douces. Mais maintenant, ces activités ont perdu leur douceur ; elles ne peuvent plus toucher Dieu. Auparavant, elle chérissait les réunions d'Église ; quand elle manquait une réunion, elle avait le sentiment d'avoir subi une grande perte. Maintenant, les réunions sont vides pour elle ; cela ne change rien qu'elle y aille ou non. Quand elle voit les enfants de Dieu, elle a envie de s'enfuir au lieu de les rencontrer. Tout a changé.
C'est une chose très sérieuse pour une personne que de pécher après avoir été sauvée ! Nous ne devons jamais nous relâcher dans notre conduite. Nous ne devons jamais tolérer le péché et ne devons jamais lui permettre de se développer.
Mais que faire « si quelqu'un pèche » ? Si un chrétien devient négligeant et pèche accidentellement, s'il se laisse entraîner dans le péché, que devons-nous faire ? Comment peut-il revenir au Seigneur ? Comment peut-il retrouver sa communion avec Dieu ? C'est un sujet très important, et nous devons l'étudier attentivement.
Un chrétien ne devrait pas pécher ni continuer à pécher. Est-il donc possible pour un chrétien de ne pas pécher ? La réponse est oui ! Il est possible pour un chrétien de pas pécher parce que nous avons la vie de Dieu en nous. Cette vie ne pèche pas. Elle ne peut tolérer aucune trace de péché. Cette vie est aussi sainte que Dieu lui-même. La vie qui est en nous nous rend très sensibles au péché. Si nous marchons selon cette vie, nous ne pécherons pas.
Cependant, il est possible pour un chrétien de pécher. Nous sommes encore dans la chair. Si nous ne marchons pas selon l'Esprit et que nous ne vivons pas selon la vie de Dieu, nous pouvons pécher à tout moment. Galates 6.1 nous dit : « Frères, si un homme vient à être surpris en faute... » Un Jean 2.1 nous dit : « Mes petits enfants, ... si quelqu'un a péché... » Il est possible pour un chrétien de pécher. Nous lisons dans 1 Jean 1.8 : « Si nous disons que nous n'avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes. » Le verset 10 déclare : « Si nous disons que nous n'avons pas péché, nous le faisons menteur. » Ainsi, notre expérience nous montre qu'il est possible pour un chrétien de tomber accidentellement dans le péché.
Si une personne qui est sauvée tombe accidentellement dans le péché, périra-t-elle pour autant ? Non ! Le Seigneur nous dit : « Je leur donne la vie éternelle ; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main » (Jn 10.28). En d'autres termes, une fois qu'une personne est sauvée, elle est sauvée pour l'éternité. « Et elles ne périront jamais. » Rien ne peut être plus sûr que cela ! Un Corinthiens 5 nous parle d'un frère qui s’était rendu coupable de fornication. Paul a dit : « Qu'un tel homme soit livré à Satan pour la destruction de la chair, afin que l'esprit soit sauvé au jour du Seigneur Jésus » (v. 5). Même si la chair d'un croyant est détruite, son esprit sera néanmoins sauvé.
Est-ce que cela signifie qu'une fois sauvé, cela n'a pas d'importance si l'on pèche ? Non ! Si une personne pèche une fois qu'elle est sauvée, cela aura deux conséquences terribles. Premièrement, elle souffrira dans cette vie. Si vous péchez après avoir été sauvé, vous subirez les conséquences de votre péché. La personne dans 1 Corinthiens 5 a été livrée à Satan. C'est une très grande souffrance. Si elle confesse son péché au Seigneur, Dieu lui pardonnera et le sang purifiera cette personne. Pour certains péchés cependant, il y a d'autres conséquences auxquelles nous devons faire face. Bien que l’Éternel ait pardonné le péché que David a commis en prenant la femme d'Urie, l'épée n'a jamais quitté sa maison (2 S 12.9-13). Frères et sœurs, le péché est comme un serpent venimeux, ce n'est pas un jouet amusant. S'il vous mord, vous en souffrirez.
Deuxièmement, si un homme pèche, il sera puni dans l'âge à venir. Si un chrétien pèche et qu'il ne traite pas le problème dans cette vie, il devra le traiter dans l'âge à venir. Quand le Seigneur reviendra : « Il rendra à chacun selon ses œuvres » (Mt 16.27). Paul a dit : « Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu'il aura fait, étant dans son Corps » (2 Co 5.10).
En dehors de ces deux terribles conséquences, il y a aussi un autre résultat immédiat du péché, qui est la rupture de la communion avec Dieu. Pour un chrétien, la communion avec Dieu est un glorieux privilège. Une telle communion est la plus grande bénédiction qu'il puisse obtenir. Cependant, si une personne pèche, elle perdra immédiatement sa communion avec Dieu. Le Saint-Esprit en elle sera blessé et la vie en elle ressentira un malaise dû à son péché. Elle perdra sa joie ainsi que sa communion avec Dieu. Auparavant, quand elle rencontrait d'autres chrétiens, elle se sentait chaleureusement attirée vers eux, mais maintenant elle ne ressent plus cette chaleur ; il semble y avoir une barrière entre eux. Auparavant, la prière et la lecture de la Bible étaient douces. Mais maintenant, ces activités ont perdu leur douceur ; elles ne peuvent plus toucher Dieu. Auparavant, elle chérissait les réunions d'Église ; quand elle manquait une réunion, elle avait le sentiment d'avoir subi une grande perte. Maintenant, les réunions sont vides pour elle ; cela ne change rien qu'elle y aille ou non. Quand elle voit les enfants de Dieu, elle a envie de s'enfuir au lieu de les rencontrer. Tout a changé.
C'est une chose très sérieuse pour une personne que de pécher après avoir été sauvée ! Nous ne devons jamais nous relâcher dans notre conduite. Nous ne devons jamais tolérer le péché et ne devons jamais lui permettre de se développer.
Mais que faire « si quelqu'un pèche » ? Si un chrétien devient négligeant et pèche accidentellement, s'il se laisse entraîner dans le péché, que devons-nous faire ? Comment peut-il revenir au Seigneur ? Comment peut-il retrouver sa communion avec Dieu ? C'est un sujet très important, et nous devons l'étudier attentivement.
LE SEIGNEUR A PORTÉ TOUS NOS PÉCHÉS
Pour régler le problème, nous devons tout d'abord réaliser que le Seigneur Jésus a porté tous nos péchés sur la croix. Tous les péchés que nous avons commis, ainsi que ceux que nous commettons et que nous commettrons au cours de notre vie ont été portés par le Seigneur sur la croix.
Cependant, le jour oú nous avons cru au Seigneur, par la lumière de Dieu, nous n'avons vu que les péchés que nous avions commis avant de croire. Un homme peut uniquement être conscient des péchés que Dieu lui montre ; il ne peut pas sentir le poids des péchés qu'il n'a pas encore commis. Donc, les péchés que le Seigneur a portés sur la croix sont plus nombreux que ceux que nous voyons. Le Seigneur a porté tous nos péchés sur la croix, mais nous ne voyons que les péchés que nous avons commis.
Que vous ayez été sauvé à l'âge de seize ans, ou à l'âge de trente-deux ans, tous les péchés que vous avez commis avant votre salut sont absolument et totalement pardonnés par le Seigneur. Cependant, au moment de votre pardon, le nombre de péchés dont vous étiez réellement conscient était en fait bien inférieur au nombre de péchés que le Seigneur a porté pour vous sur la croix. Votre expérience de la grâce de Dieu ne peut pas surpasser votre réalisation des péchés que vous avez commis. Mais le travail du Seigneur à notre égard est basé sur Sa connaissance de l'ensemble de nos péchés. Nous devons réaliser que même les péchés dont nous ne sommes pas conscients sont compris dans la rédemption du Seigneur Jésus.
Admettons que vous ayez été sauvé à l'âge de seize ans, et que vous ayez commis mille péchés pendant les seize premières années de votre vie. Peut-être avez-vous dit, au moment oú vous avez cru : « Merci Seigneur. Mes péchés ont été pardonnés parce que Tu as enlevé tous mes péchés. » En disant que le Seigneur a enlevé tous vos péchés, vous parliez de vos mille péchés. Et si vous aviez été sauvé à l'âge de trente-deux ans ? Proportionnellement, vous auriez peut-être commis deux fois plus de péchés. Vous auriez peut-être dit la même chose : « Ô Seigneur, Tu as porté tous mes péchés. » Si vous aviez été sauvé à l'âge de soixante-quatre ans, vous auriez encore dit : « Ô Seigneur, Tu as porté tous mes péchés. » Il est très clair que le Seigneur a résolu le problème de tous les péchés que vous avez commis jusqu'à l'âge de seize ans, mais aussi de ceux commis entre les âges de seize et soixante-quatre ans. Le Seigneur a porté tous nos péchés sur la croix. Le brigand sur la croix a cru au Seigneur très peu de temps avant sa mort, mais le Seigneur a ôté tous ses péchés (Lc 23.39-43). En d'autres termes, le Seigneur a ôté les péchés de toute notre vie sur la croix. Même si, au moment de notre conversion, nous n'avons ressenti de pardon que pour les péchés que nous avions déjà commis, en réalité, le Seigneur a ôté tous nos péchés, même ceux que nous n'avions pas encore commis au moment de notre conversion. Il est très important de comprendre ce fait afin de pouvoir comprendre comment retrouver la communion avec Dieu.
Pour régler le problème, nous devons tout d'abord réaliser que le Seigneur Jésus a porté tous nos péchés sur la croix. Tous les péchés que nous avons commis, ainsi que ceux que nous commettons et que nous commettrons au cours de notre vie ont été portés par le Seigneur sur la croix.
Cependant, le jour oú nous avons cru au Seigneur, par la lumière de Dieu, nous n'avons vu que les péchés que nous avions commis avant de croire. Un homme peut uniquement être conscient des péchés que Dieu lui montre ; il ne peut pas sentir le poids des péchés qu'il n'a pas encore commis. Donc, les péchés que le Seigneur a portés sur la croix sont plus nombreux que ceux que nous voyons. Le Seigneur a porté tous nos péchés sur la croix, mais nous ne voyons que les péchés que nous avons commis.
Que vous ayez été sauvé à l'âge de seize ans, ou à l'âge de trente-deux ans, tous les péchés que vous avez commis avant votre salut sont absolument et totalement pardonnés par le Seigneur. Cependant, au moment de votre pardon, le nombre de péchés dont vous étiez réellement conscient était en fait bien inférieur au nombre de péchés que le Seigneur a porté pour vous sur la croix. Votre expérience de la grâce de Dieu ne peut pas surpasser votre réalisation des péchés que vous avez commis. Mais le travail du Seigneur à notre égard est basé sur Sa connaissance de l'ensemble de nos péchés. Nous devons réaliser que même les péchés dont nous ne sommes pas conscients sont compris dans la rédemption du Seigneur Jésus.
Admettons que vous ayez été sauvé à l'âge de seize ans, et que vous ayez commis mille péchés pendant les seize premières années de votre vie. Peut-être avez-vous dit, au moment oú vous avez cru : « Merci Seigneur. Mes péchés ont été pardonnés parce que Tu as enlevé tous mes péchés. » En disant que le Seigneur a enlevé tous vos péchés, vous parliez de vos mille péchés. Et si vous aviez été sauvé à l'âge de trente-deux ans ? Proportionnellement, vous auriez peut-être commis deux fois plus de péchés. Vous auriez peut-être dit la même chose : « Ô Seigneur, Tu as porté tous mes péchés. » Si vous aviez été sauvé à l'âge de soixante-quatre ans, vous auriez encore dit : « Ô Seigneur, Tu as porté tous mes péchés. » Il est très clair que le Seigneur a résolu le problème de tous les péchés que vous avez commis jusqu'à l'âge de seize ans, mais aussi de ceux commis entre les âges de seize et soixante-quatre ans. Le Seigneur a porté tous nos péchés sur la croix. Le brigand sur la croix a cru au Seigneur très peu de temps avant sa mort, mais le Seigneur a ôté tous ses péchés (Lc 23.39-43). En d'autres termes, le Seigneur a ôté les péchés de toute notre vie sur la croix. Même si, au moment de notre conversion, nous n'avons ressenti de pardon que pour les péchés que nous avions déjà commis, en réalité, le Seigneur a ôté tous nos péchés, même ceux que nous n'avions pas encore commis au moment de notre conversion. Il est très important de comprendre ce fait afin de pouvoir comprendre comment retrouver la communion avec Dieu.
L’EXEMPLE DES CENDRES DE LA GÉNISSE ROUSSE
Nous avons, dans l’exemple des cendres de la génisse rousse, une belle image de la mort du Seigneur pour nos péchés.
Nombres 19 est un chapitre très intéressant de l'Ancien Testament. Il est question d'une génisse, ce qui représente quelque chose de très particulier. La génisse n'était pas utilisée pour remplir un besoin immédiat, mais pour satisfaire un besoin futur. Cela, aussi, est très significatif.
Dans le verset 2, Dieu a dit à Moïse et à Aaron : « Parle aux fils d'Israël, et qu'ils t'amènent une génisse rousse, sans tare, qui n'ait aucun défaut corporel, et qui n'ait point porté le joug. » Il fallait une génisse, et non pas un taureau. Dans la Bible, cette distinction est très importante. Mâle signifie tout ce qui a trait au témoignage de la vérité, alors que femelle signifie tout ce qui est en rapport avec l'expérience de la vie. C'est ici un principe que nous devons avoir à l'esprit en lisant notre Bible. Abraham nous parle de la justification par la foi, alors que Sarah nous parle d'obéissance. La justification par la foi est objective ; elle a un rapport avec le témoignage de la vérité. L'obéissance est subjective, car elle a un rapport avec l'œuvre du Seigneur dans l'homme. On utilise ici une génisse au lieu d'un taureau parce que cela représente un autre aspect de l'œuvre du Seigneur, Son œuvre envers l'homme. La génisse rousse signifie que l'œuvre est subjective et non pas objective.
Qu'arrivait-il à la génisse ? Elle était égorgée, son sang recueilli et il en était fait l'aspersion sept fois devant la tente de la Rencontre. Autrement dit, le sang était offert à Dieu, parce que le sang est toujours pour Dieu. Le sang de la génisse était répandu sept fois devant la tente de la Rencontre, ce qui signifie qu'il était pour Dieu et pour la rédemption des péchés.
Après avoir été tuée, la génisse était brûlée. La peau, la chair, le sang et les excréments étaient brûlés. Toute la génisse était brûlée. Pendant que la génisse brûlait, il fallait que le sacrificateur jette du bois de cèdre, de l'hysope et de l'écarlate au milieu du feu. Que signifient le bois de cèdre et l'hysope ? Dans 1 Rois 4:33, il est question des arbres, depuis le cèdre jusqu'à l'hysope. Le bois de cèdre et l'hysope signifient donc tous les arbres. En d'autres termes, ils signifient le monde entier. Que signifie l'écarlate ? Nous retrouvons ce mot dans Ésaïe 1:18 qui dit : « S'ils [vos péchés] sont rouges comme l'écarlate, ils seront comme la laine. » L'écarlate signifie donc nos péchés. Le fait que le bois de cèdre, l'hysope, et l'écarlate soient brûlés ensemble signifie que les péchés du monde entier étaient rassemblés et brûlés avec la génisse rousse lorsqu'elle était offerte à Dieu ; tout était brûlé ensemble. Ici nous voyons une image de la croix. Le Seigneur Jésus s'est offert à Dieu. Il a englobé tous nos péchés : les plus grands, comme les plus petits ; ceux du passé, du présent et du futur. Tous les péchés étaient sur la génisse et ils étaient tous brûlés avec elle.
Que se passait-il ensuite ? Nombres 19:9 nous dit : « Et un homme pur ramassera la cendre de la génisse et la déposera hors du camp en un lieu pur, et elle sera gardée pour l'assemblée des fils d'Israël comme eau de séparation : c'est une purification pour le péché. » Que cela signifie-t-il ? C’est là ce qu'il y a d'important avec la génisse rousse. Après que le bois de cèdre, l'hysope et l'écarlate eurent été brûlés avec la génisse, les cendres étaient ramassées et déposées dans un lieu pur. Par la suite, si un des Israélites touchait quelque chose d'impur, ou devenait impur devant l'Éternel, une autre personne pure pouvait mélanger de la cendre avec de l'eau et en faire aspersion sur la personne impure. En d'autres termes, les cendres étaient utilisées pour enlever l'impureté. Elles étaient préparées pour le futur. Elles seraient utilisées lorsqu'une impureté surviendrait à tout moment dans le futur.
Dans l'Ancien Testament, les pécheurs devaient offrir des sacrifices au Seigneur. Si une personne avait offert un sacrifice et qu'elle touchait ensuite quelque chose d'impur, elle devenait à nouveau impure devant Dieu et perdait sa communion avec Lui. Que devait-elle faire ? Une autre personne devait prendre des cendres de la génisse rousse, les mettre dans un récipient, ajouter de l'eau vive, mélanger le tout dans l'eau de purification et en faire aspersion sur le corps de la personne. L'impureté de l'homme serait ensuite effacée et son péché pardonné. Quand un Israélite amenait un taureau ou un agneau au Seigneur et l'offrait pour un sacrifice pour le péché, il le faisait parce qu'il connaissait son péché. Mais la génisse rousse était pour autre chose. L'holocauste de la génisse rousse ne concernait pas les péchés connus qui avaient été commis dans le passé ; il concernait les péchés futurs.
Cela nous montre un autre aspect de l'œuvre du Seigneur Jésus. Les cendres de la génisse rousse nous montrent l'efficacité de la rédemption. Les péchés du monde entier sont dans les cendres, et le sang y est aussi. Quand un homme devient impur ou qu'il touche quelque chose d'impur, il n'a pas besoin de tuer une nouvelle génisse rousse pour l'offrir à Dieu. Il n'a besoin que de prendre une partie des cendres, les mélanger avec de l'eau et d’en faire aspersion sur son corps. En d'autres termes, il n'a pas besoin que le Seigneur fasse pour lui quelque chose de nouveau. Sa rédemption a déjà tout accompli. Il a pourvu à toute notre impureté future et à tous nos péchés. Tout a été pleinement accompli par Sa rédemption.
Que signifient les cendres ? Dans la Bible, les cendres désignent quelque chose dans sa forme finale. Que ce soit un taureau ou un agneau, sa forme finale, après avoir été brûlé, c'est la cendre. Les cendres sont très stables ; elles ne se décomposent pas en autre chose. Nous ne pouvons pas faire se décomposer ou détruire les cendres. Les cendres nous parlent de quelque chose dans son état final.
Les cendres de la génisse rousse représentent l'efficacité éternelle et immuable de la rédemption du Seigneur. La rédemption que le Seigneur a accomplie pour nous est très stable. Ne pensez pas que les rochers dans les montagnes sont stables. Même les rochers peuvent être brûlés pour donner des cendres. Les cendres sont plus stables que les rochers. Les cendres de la génisse rousse représentent la rédemption du Seigneur qu'Il a préparée pour nous. Elle est immuable et incorruptible pour toujours. Nous pouvons y puiser à tout moment. Si un chrétien touche quelque chose d'impur par accident et qu'il y a de l'impureté en lui, il n'a pas besoin de demander au Seigneur de mourir à nouveau pour lui. Il n'a besoin que de croire en l'efficacité éternelle et incorruptible des cendres, et faire aspersion sur son corps de l'eau vive, et il sera purifié. En d'autres termes, les cendres de la génisse rousse nous montrent que l'œuvre de la croix dans le passé s'applique à nous aujourd'hui. Nous pouvons même y voir que l'efficacité de la croix couvre aussi tous les besoins futurs que nous aurons en termes de rédemption. Nous n’avions besoin que d'une seule génisse rousse et elle n'avait besoin d'être brûlée qu'une seule fois. Ses cendres suffisaient pour toute une vie. Merci Seigneur, Sa rédemption est suffisante pour toute notre vie. Sa mort a ôté tous nos péchés.
Nous avons, dans l’exemple des cendres de la génisse rousse, une belle image de la mort du Seigneur pour nos péchés.
Nombres 19 est un chapitre très intéressant de l'Ancien Testament. Il est question d'une génisse, ce qui représente quelque chose de très particulier. La génisse n'était pas utilisée pour remplir un besoin immédiat, mais pour satisfaire un besoin futur. Cela, aussi, est très significatif.
Dans le verset 2, Dieu a dit à Moïse et à Aaron : « Parle aux fils d'Israël, et qu'ils t'amènent une génisse rousse, sans tare, qui n'ait aucun défaut corporel, et qui n'ait point porté le joug. » Il fallait une génisse, et non pas un taureau. Dans la Bible, cette distinction est très importante. Mâle signifie tout ce qui a trait au témoignage de la vérité, alors que femelle signifie tout ce qui est en rapport avec l'expérience de la vie. C'est ici un principe que nous devons avoir à l'esprit en lisant notre Bible. Abraham nous parle de la justification par la foi, alors que Sarah nous parle d'obéissance. La justification par la foi est objective ; elle a un rapport avec le témoignage de la vérité. L'obéissance est subjective, car elle a un rapport avec l'œuvre du Seigneur dans l'homme. On utilise ici une génisse au lieu d'un taureau parce que cela représente un autre aspect de l'œuvre du Seigneur, Son œuvre envers l'homme. La génisse rousse signifie que l'œuvre est subjective et non pas objective.
Qu'arrivait-il à la génisse ? Elle était égorgée, son sang recueilli et il en était fait l'aspersion sept fois devant la tente de la Rencontre. Autrement dit, le sang était offert à Dieu, parce que le sang est toujours pour Dieu. Le sang de la génisse était répandu sept fois devant la tente de la Rencontre, ce qui signifie qu'il était pour Dieu et pour la rédemption des péchés.
Après avoir été tuée, la génisse était brûlée. La peau, la chair, le sang et les excréments étaient brûlés. Toute la génisse était brûlée. Pendant que la génisse brûlait, il fallait que le sacrificateur jette du bois de cèdre, de l'hysope et de l'écarlate au milieu du feu. Que signifient le bois de cèdre et l'hysope ? Dans 1 Rois 4:33, il est question des arbres, depuis le cèdre jusqu'à l'hysope. Le bois de cèdre et l'hysope signifient donc tous les arbres. En d'autres termes, ils signifient le monde entier. Que signifie l'écarlate ? Nous retrouvons ce mot dans Ésaïe 1:18 qui dit : « S'ils [vos péchés] sont rouges comme l'écarlate, ils seront comme la laine. » L'écarlate signifie donc nos péchés. Le fait que le bois de cèdre, l'hysope, et l'écarlate soient brûlés ensemble signifie que les péchés du monde entier étaient rassemblés et brûlés avec la génisse rousse lorsqu'elle était offerte à Dieu ; tout était brûlé ensemble. Ici nous voyons une image de la croix. Le Seigneur Jésus s'est offert à Dieu. Il a englobé tous nos péchés : les plus grands, comme les plus petits ; ceux du passé, du présent et du futur. Tous les péchés étaient sur la génisse et ils étaient tous brûlés avec elle.
Que se passait-il ensuite ? Nombres 19:9 nous dit : « Et un homme pur ramassera la cendre de la génisse et la déposera hors du camp en un lieu pur, et elle sera gardée pour l'assemblée des fils d'Israël comme eau de séparation : c'est une purification pour le péché. » Que cela signifie-t-il ? C’est là ce qu'il y a d'important avec la génisse rousse. Après que le bois de cèdre, l'hysope et l'écarlate eurent été brûlés avec la génisse, les cendres étaient ramassées et déposées dans un lieu pur. Par la suite, si un des Israélites touchait quelque chose d'impur, ou devenait impur devant l'Éternel, une autre personne pure pouvait mélanger de la cendre avec de l'eau et en faire aspersion sur la personne impure. En d'autres termes, les cendres étaient utilisées pour enlever l'impureté. Elles étaient préparées pour le futur. Elles seraient utilisées lorsqu'une impureté surviendrait à tout moment dans le futur.
Dans l'Ancien Testament, les pécheurs devaient offrir des sacrifices au Seigneur. Si une personne avait offert un sacrifice et qu'elle touchait ensuite quelque chose d'impur, elle devenait à nouveau impure devant Dieu et perdait sa communion avec Lui. Que devait-elle faire ? Une autre personne devait prendre des cendres de la génisse rousse, les mettre dans un récipient, ajouter de l'eau vive, mélanger le tout dans l'eau de purification et en faire aspersion sur le corps de la personne. L'impureté de l'homme serait ensuite effacée et son péché pardonné. Quand un Israélite amenait un taureau ou un agneau au Seigneur et l'offrait pour un sacrifice pour le péché, il le faisait parce qu'il connaissait son péché. Mais la génisse rousse était pour autre chose. L'holocauste de la génisse rousse ne concernait pas les péchés connus qui avaient été commis dans le passé ; il concernait les péchés futurs.
Cela nous montre un autre aspect de l'œuvre du Seigneur Jésus. Les cendres de la génisse rousse nous montrent l'efficacité de la rédemption. Les péchés du monde entier sont dans les cendres, et le sang y est aussi. Quand un homme devient impur ou qu'il touche quelque chose d'impur, il n'a pas besoin de tuer une nouvelle génisse rousse pour l'offrir à Dieu. Il n'a besoin que de prendre une partie des cendres, les mélanger avec de l'eau et d’en faire aspersion sur son corps. En d'autres termes, il n'a pas besoin que le Seigneur fasse pour lui quelque chose de nouveau. Sa rédemption a déjà tout accompli. Il a pourvu à toute notre impureté future et à tous nos péchés. Tout a été pleinement accompli par Sa rédemption.
Que signifient les cendres ? Dans la Bible, les cendres désignent quelque chose dans sa forme finale. Que ce soit un taureau ou un agneau, sa forme finale, après avoir été brûlé, c'est la cendre. Les cendres sont très stables ; elles ne se décomposent pas en autre chose. Nous ne pouvons pas faire se décomposer ou détruire les cendres. Les cendres nous parlent de quelque chose dans son état final.
Les cendres de la génisse rousse représentent l'efficacité éternelle et immuable de la rédemption du Seigneur. La rédemption que le Seigneur a accomplie pour nous est très stable. Ne pensez pas que les rochers dans les montagnes sont stables. Même les rochers peuvent être brûlés pour donner des cendres. Les cendres sont plus stables que les rochers. Les cendres de la génisse rousse représentent la rédemption du Seigneur qu'Il a préparée pour nous. Elle est immuable et incorruptible pour toujours. Nous pouvons y puiser à tout moment. Si un chrétien touche quelque chose d'impur par accident et qu'il y a de l'impureté en lui, il n'a pas besoin de demander au Seigneur de mourir à nouveau pour lui. Il n'a besoin que de croire en l'efficacité éternelle et incorruptible des cendres, et faire aspersion sur son corps de l'eau vive, et il sera purifié. En d'autres termes, les cendres de la génisse rousse nous montrent que l'œuvre de la croix dans le passé s'applique à nous aujourd'hui. Nous pouvons même y voir que l'efficacité de la croix couvre aussi tous les besoins futurs que nous aurons en termes de rédemption. Nous n’avions besoin que d'une seule génisse rousse et elle n'avait besoin d'être brûlée qu'une seule fois. Ses cendres suffisaient pour toute une vie. Merci Seigneur, Sa rédemption est suffisante pour toute notre vie. Sa mort a ôté tous nos péchés.
LE BESOIN DE CONFESSION
Nous avons parlé de l'œuvre du Seigneur, qui est la rédemption, et le pardon de nos péchés. Que devons-nous faire de notre côté ?
Un Jean 1.9 nous dit : « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité. » Dans ce verset, le mot « nous » se réfère aux croyants, et non pas aux pécheurs. Quand un croyant pèche, il doit confesser ses péchés. C'est seulement après avoir confessé ses péchés qu'il sera pardonné. Quand un croyant pèche, il ne doit pas essayer de le cacher ou de l'oublier. Proverbes 28.13 nous dit : « Celui qui cache ses transgressions ne prospérera point, mais celui qui les confesse et les abandonne obtiendra miséricorde. » Quand un croyant pèche, il doit confesser son péché. Ne donnez pas un beau nom au péché. Ne vous justifiez pas. Le mensonge est un péché. Quand vous mentez, vous devriez confesser que vous avez péché. Vous ne devriez pas dire : « J'ai dit un peu plus (ou moins) que je n'aurais dû. » Vous devriez dire : « J'ai péché. » Vous ne devriez pas l'excuser ou le cacher. Vous devriez confesser que vous avez commis le péché de mensonge. Vous devez condamner le mensonge comme étant un péché.
Confesser signifie se tenir du côté de Dieu et juger le péché pour ce qu’il est. Nous avons affaire à trois choses ici : Dieu, nous-mêmes et le péché. Dieu et le péché sont de part et d'autre, et nous sommes au centre. Que signifie commettre un péché ? Cela signifie que nous nous positionnons du côté du péché, et que nous nous éloignons de Dieu. Une fois que nous nous sommes unis au péché, nous ne pouvons plus être avec Dieu. Dès qu'Adam eut péché, il s'est caché de Dieu et n'osa pas le rencontrer (Gn 3.8). Colossiens 1.21 nous dit : « Et vous étiez autrefois étrangers et ennemis quant à votre entendement, dans les mauvaises œuvres. » Le péché nous sépare de Dieu. Que signifie confesser nos péchés ? Cela signifie revenir du côté de Dieu et reconnaître que ce que nous avons fait est un péché. Nous sommes revenus auprès de Dieu. Nous ne sommes plus avec le péché. Seuls ceux qui marchent dans la lumière et qui ont de fortes convictions et une répulsion pour le péché peuvent se confesser de façon authentique. Ceux qui sont endurcis au péché, qui considèrent qu'il est naturel de pécher, ne font pas une vraie confession quand ils ne font que reconnaître quelque chose avec leurs lèvres d'une manière machinale.
Les croyants sont les enfants de lumière (Ép 5.8) et les enfants de Dieu (1 Jn 3.1). Ils ne sont plus étrangers mais ils sont membres de la famille de Dieu. Dans une famille, nous devrions nous comporter d'une manière digne de la famille. Vous êtes enfant de Dieu, et vous savez ce qu'est le péché. Vous devriez avoir la même attitude que votre Père envers le péché. L'attitude du Père face au péché devrait être la nôtre. La confession vient dans la maison de Dieu lorsque Ses enfants adoptent la même attitude que Lui envers le péché. Ils condamnent le péché de la même façon que leur Père le condamne. Quand un enfant de Dieu pèche, il devrait condamner le péché de la même façon que le fait le Père.
Si nous confessons nos péchés de cette manière, Dieu « est fidèle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier de toute iniquité ». Quand nous péchons, que nous connaissons notre péché et que nous le confessons, Dieu nous pardonnera et nous purifiera de toute iniquité. Dieu est « fidèle », ce qui signifie qu'Il tient parole et qu'Il accomplit Ses promesses. Il est aussi « juste », ce qui signifie qu'Il doit se satisfaire de l'œuvre rédemptrice de Son Fils sur la croix, et qu'Il doit la reconnaître. Il doit pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité.
Nous devons prêter attention aux mots « tout » et « toute » dans 1 Jean 1.7 et 9. « Tout péché » et « toute iniquité » sont pleinement pardonnés et purifiés. Le Seigneur a fait cela. Quand le Seigneur dit « tout », il veut dire tout. Nous ne devrions jamais Lui faire dire autre chose. Quand Il dit « tout péché », Il veut dire tout péché, et non pas seulement ceux qui ont été commis avant que nous croyions ou dans le passé. Il a pardonné tous nos péchés.
Nous avons parlé de l'œuvre du Seigneur, qui est la rédemption, et le pardon de nos péchés. Que devons-nous faire de notre côté ?
Un Jean 1.9 nous dit : « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité. » Dans ce verset, le mot « nous » se réfère aux croyants, et non pas aux pécheurs. Quand un croyant pèche, il doit confesser ses péchés. C'est seulement après avoir confessé ses péchés qu'il sera pardonné. Quand un croyant pèche, il ne doit pas essayer de le cacher ou de l'oublier. Proverbes 28.13 nous dit : « Celui qui cache ses transgressions ne prospérera point, mais celui qui les confesse et les abandonne obtiendra miséricorde. » Quand un croyant pèche, il doit confesser son péché. Ne donnez pas un beau nom au péché. Ne vous justifiez pas. Le mensonge est un péché. Quand vous mentez, vous devriez confesser que vous avez péché. Vous ne devriez pas dire : « J'ai dit un peu plus (ou moins) que je n'aurais dû. » Vous devriez dire : « J'ai péché. » Vous ne devriez pas l'excuser ou le cacher. Vous devriez confesser que vous avez commis le péché de mensonge. Vous devez condamner le mensonge comme étant un péché.
Confesser signifie se tenir du côté de Dieu et juger le péché pour ce qu’il est. Nous avons affaire à trois choses ici : Dieu, nous-mêmes et le péché. Dieu et le péché sont de part et d'autre, et nous sommes au centre. Que signifie commettre un péché ? Cela signifie que nous nous positionnons du côté du péché, et que nous nous éloignons de Dieu. Une fois que nous nous sommes unis au péché, nous ne pouvons plus être avec Dieu. Dès qu'Adam eut péché, il s'est caché de Dieu et n'osa pas le rencontrer (Gn 3.8). Colossiens 1.21 nous dit : « Et vous étiez autrefois étrangers et ennemis quant à votre entendement, dans les mauvaises œuvres. » Le péché nous sépare de Dieu. Que signifie confesser nos péchés ? Cela signifie revenir du côté de Dieu et reconnaître que ce que nous avons fait est un péché. Nous sommes revenus auprès de Dieu. Nous ne sommes plus avec le péché. Seuls ceux qui marchent dans la lumière et qui ont de fortes convictions et une répulsion pour le péché peuvent se confesser de façon authentique. Ceux qui sont endurcis au péché, qui considèrent qu'il est naturel de pécher, ne font pas une vraie confession quand ils ne font que reconnaître quelque chose avec leurs lèvres d'une manière machinale.
Les croyants sont les enfants de lumière (Ép 5.8) et les enfants de Dieu (1 Jn 3.1). Ils ne sont plus étrangers mais ils sont membres de la famille de Dieu. Dans une famille, nous devrions nous comporter d'une manière digne de la famille. Vous êtes enfant de Dieu, et vous savez ce qu'est le péché. Vous devriez avoir la même attitude que votre Père envers le péché. L'attitude du Père face au péché devrait être la nôtre. La confession vient dans la maison de Dieu lorsque Ses enfants adoptent la même attitude que Lui envers le péché. Ils condamnent le péché de la même façon que leur Père le condamne. Quand un enfant de Dieu pèche, il devrait condamner le péché de la même façon que le fait le Père.
Si nous confessons nos péchés de cette manière, Dieu « est fidèle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier de toute iniquité ». Quand nous péchons, que nous connaissons notre péché et que nous le confessons, Dieu nous pardonnera et nous purifiera de toute iniquité. Dieu est « fidèle », ce qui signifie qu'Il tient parole et qu'Il accomplit Ses promesses. Il est aussi « juste », ce qui signifie qu'Il doit se satisfaire de l'œuvre rédemptrice de Son Fils sur la croix, et qu'Il doit la reconnaître. Il doit pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité.
Nous devons prêter attention aux mots « tout » et « toute » dans 1 Jean 1.7 et 9. « Tout péché » et « toute iniquité » sont pleinement pardonnés et purifiés. Le Seigneur a fait cela. Quand le Seigneur dit « tout », il veut dire tout. Nous ne devrions jamais Lui faire dire autre chose. Quand Il dit « tout péché », Il veut dire tout péché, et non pas seulement ceux qui ont été commis avant que nous croyions ou dans le passé. Il a pardonné tous nos péchés.
UN AVOCAT AUPRÈS DU PÈRE
Un Jean 2.1 nous dit : « Mes enfants, je vous écris ces choses afin que vous ne péchiez pas. » « Ces choses » se réfère au pardon et à la purification des péchés par la promesse et l'œuvre de Dieu. Jean nous a écrit ces choses, afin que nous ne péchions pas. Cela nous montre que le Seigneur a pardonné nos nombreux péchés, et par conséquent, nous ne péchons pas. Quand nous apprenons que nous sommes pardonnés, nous ne devenons pas libres de pécher ; au contraire, nous ne péchons pas.
Ensuite, il est dit : « Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus Christ, le Juste. » « Auprès du Père » — c'est une affaire de famille ; c'est quelque chose qui se passe après que nous sommes sauvés. Nous avons déjà cru et nous faisons déjà partie de la grande famille de Dieu. Nous avons maintenant un avocat auprès du Père, qui est Jésus-Christ le Juste ; « En Lui est la propitiation pour nos péchés. » Par la mort du Seigneur Jésus et par le fait qu'Il est devenu la propitiation pour nos péchés, Il est devenu notre Avocat auprès du Père. Ces mots sont adressés à des chrétiens.
La propitiation dont il est question ici est en réalité une image des cendres de la génisse rousse de Nombres 19. Elle nous parle du pardon de Dieu pour nos offenses futures, selon l'œuvre accomplie à la croix. Il n'est pas besoin d'avoir une nouvelle croix. Nous n'avons besoin de l'œuvre de la croix qu'une seule fois et cela est suffisant. Avec la rédemption éternelle de la croix, nos péchés sont pardonnés. Ce sacrifice n'était pas un sacrifice ordinaire. C'était un sacrifice dont l'efficacité pouvait être appliquée à tout moment. Sur la base de Son sang, le Seigneur Jésus-Christ est devenu notre Avocat. Il a accompli la rédemption sur la croix. Sur la base de Son œuvre accomplie, nous pouvons être purifiés. Si nous péchons accidentellement, nous ne devons pas être découragés par notre péché ; nous ne devons pas non plus y demeurer et y prendre plaisir. Quand nous péchons, la première chose à faire est de confesser notre péché au Seigneur. Dieu nous dit que c'est un péché, et nous devons le reconnaître comme tel. Dieu nous dit que c'est mal, et nous devons aussi le reconnaître comme tel. Quand nous demandons à Dieu de pardonner notre péché, Il le fait, et notre communion avec Lui est immédiatement retrouvée.
Aux yeux de Dieu, aucun frère ou sœur ne devrait pécher. Cependant, si quelqu'un pèche accidentellement, la première chose à faire est d'y remédier immédiatement devant le Seigneur. Il ou elle devrait traiter le problème du péché sans attendre. Il ne faut jamais tarder. Il faut régler le problème au plus vite. Vous devez vous confesser immédiatement. Dites à Dieu : « J'ai péché ! » Notre confession est notre jugement de nous-mêmes. Si nous confessons nos péchés, Dieu est fidèle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier de toute iniquité.
Quand un enfant de Dieu pèche et ne confesse pas son péché, mais qu'il reste dans le péché, il perd sa communion avec Dieu. Il n'y aura plus de communion entre lui et Dieu. Il a un problème de conscience et il ne pourra plus se tenir devant Dieu. Peut-être aura-t-il encore un petit peu de communion avec Dieu, mais cette communion ne sera pas agréable. En effet, il en souffrira. Quand un enfant a fait quelque chose de mal et qu'il rentre à la maison, il sentira que quelque chose ne va pas parce que son père ne lui parle pas. Il ne peut plus avoir une relation intime avec son père. Il sait qu'il existe une barrière entre lui et son père. C'est ici la douleur qui résulte d'une perte de communion.
Il n'existe qu'une seule façon de remédier à ce problème ; c'est d'aller vers Dieu et de confesser nos péchés. Nous devons croire que le Seigneur Jésus-Christ est devenu notre Avocat et qu'Il a porté tous nos péchés. Nous devons confesser humblement toutes nos erreurs et nos manquements auprès de Dieu. Nous devons regarder à Lui pour ne plus être fiers ou négligents en reprenant notre chemin. Nous devons réaliser que nous ne sommes pas meilleurs que les autres et qu'il est possible pour nous de tomber à tout moment. Nous devons demander à Dieu de nous accorder Sa grâce et Sa force pour continuer, pas à pas. Une fois que nous aurons confessé de cette manière, nous retrouverons immédiatement notre communion avec Dieu, ainsi que la joie et la paix que nous avions perdues.
Enfin, nous devons souligner une dernière fois que les chrétiens ne devraient pas pécher. Le péché provoque la souffrance et la perte. Que Dieu nous montre Sa grâce, qu'Il nous garde, nous préserve et nous mène dans le chemin d'une communion ininterrompue avec Lui !
Un Jean 2.1 nous dit : « Mes enfants, je vous écris ces choses afin que vous ne péchiez pas. » « Ces choses » se réfère au pardon et à la purification des péchés par la promesse et l'œuvre de Dieu. Jean nous a écrit ces choses, afin que nous ne péchions pas. Cela nous montre que le Seigneur a pardonné nos nombreux péchés, et par conséquent, nous ne péchons pas. Quand nous apprenons que nous sommes pardonnés, nous ne devenons pas libres de pécher ; au contraire, nous ne péchons pas.
Ensuite, il est dit : « Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus Christ, le Juste. » « Auprès du Père » — c'est une affaire de famille ; c'est quelque chose qui se passe après que nous sommes sauvés. Nous avons déjà cru et nous faisons déjà partie de la grande famille de Dieu. Nous avons maintenant un avocat auprès du Père, qui est Jésus-Christ le Juste ; « En Lui est la propitiation pour nos péchés. » Par la mort du Seigneur Jésus et par le fait qu'Il est devenu la propitiation pour nos péchés, Il est devenu notre Avocat auprès du Père. Ces mots sont adressés à des chrétiens.
La propitiation dont il est question ici est en réalité une image des cendres de la génisse rousse de Nombres 19. Elle nous parle du pardon de Dieu pour nos offenses futures, selon l'œuvre accomplie à la croix. Il n'est pas besoin d'avoir une nouvelle croix. Nous n'avons besoin de l'œuvre de la croix qu'une seule fois et cela est suffisant. Avec la rédemption éternelle de la croix, nos péchés sont pardonnés. Ce sacrifice n'était pas un sacrifice ordinaire. C'était un sacrifice dont l'efficacité pouvait être appliquée à tout moment. Sur la base de Son sang, le Seigneur Jésus-Christ est devenu notre Avocat. Il a accompli la rédemption sur la croix. Sur la base de Son œuvre accomplie, nous pouvons être purifiés. Si nous péchons accidentellement, nous ne devons pas être découragés par notre péché ; nous ne devons pas non plus y demeurer et y prendre plaisir. Quand nous péchons, la première chose à faire est de confesser notre péché au Seigneur. Dieu nous dit que c'est un péché, et nous devons le reconnaître comme tel. Dieu nous dit que c'est mal, et nous devons aussi le reconnaître comme tel. Quand nous demandons à Dieu de pardonner notre péché, Il le fait, et notre communion avec Lui est immédiatement retrouvée.
Aux yeux de Dieu, aucun frère ou sœur ne devrait pécher. Cependant, si quelqu'un pèche accidentellement, la première chose à faire est d'y remédier immédiatement devant le Seigneur. Il ou elle devrait traiter le problème du péché sans attendre. Il ne faut jamais tarder. Il faut régler le problème au plus vite. Vous devez vous confesser immédiatement. Dites à Dieu : « J'ai péché ! » Notre confession est notre jugement de nous-mêmes. Si nous confessons nos péchés, Dieu est fidèle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier de toute iniquité.
Quand un enfant de Dieu pèche et ne confesse pas son péché, mais qu'il reste dans le péché, il perd sa communion avec Dieu. Il n'y aura plus de communion entre lui et Dieu. Il a un problème de conscience et il ne pourra plus se tenir devant Dieu. Peut-être aura-t-il encore un petit peu de communion avec Dieu, mais cette communion ne sera pas agréable. En effet, il en souffrira. Quand un enfant a fait quelque chose de mal et qu'il rentre à la maison, il sentira que quelque chose ne va pas parce que son père ne lui parle pas. Il ne peut plus avoir une relation intime avec son père. Il sait qu'il existe une barrière entre lui et son père. C'est ici la douleur qui résulte d'une perte de communion.
Il n'existe qu'une seule façon de remédier à ce problème ; c'est d'aller vers Dieu et de confesser nos péchés. Nous devons croire que le Seigneur Jésus-Christ est devenu notre Avocat et qu'Il a porté tous nos péchés. Nous devons confesser humblement toutes nos erreurs et nos manquements auprès de Dieu. Nous devons regarder à Lui pour ne plus être fiers ou négligents en reprenant notre chemin. Nous devons réaliser que nous ne sommes pas meilleurs que les autres et qu'il est possible pour nous de tomber à tout moment. Nous devons demander à Dieu de nous accorder Sa grâce et Sa force pour continuer, pas à pas. Une fois que nous aurons confessé de cette manière, nous retrouverons immédiatement notre communion avec Dieu, ainsi que la joie et la paix que nous avions perdues.
Enfin, nous devons souligner une dernière fois que les chrétiens ne devraient pas pécher. Le péché provoque la souffrance et la perte. Que Dieu nous montre Sa grâce, qu'Il nous garde, nous préserve et nous mène dans le chemin d'une communion ininterrompue avec Lui !
Considérer son emploi comme un ministère - John Pipper
Le sujet principal de mon message ce matin peut être exprimé comme une déclaration et une prière. En tant que déclaration ce serait : Comment le fait d’accomplir les exigences de votre vocation est une partie essentielle de la vie du disciple chrétien. Autrement dit : La façon dont vous faites votre travail constitue une grande partie de votre obéissance à Jésus. Formulé comme une prière, le sujet du message d’aujourd’hui serait : Père, donne-nous ta grâce pour que nous puissions prendre conscience de ta présence sur notre lieu de travail et pour obéir à tes commandements dans toutes nos relations professionnelles. Je crois que ceci est la parole de Dieu pour nous aujourd’hui, et je vais partir du passage de 1 Corinthiens 7:17–24.

Que chacun reste où il était lorsqu’il a été appelé
Avant de lire ce texte, orientons-nous par rapport au contexte qui le précède. L’un des problèmes de l’église de Corinthe était le manque d’assurance dans leur compréhension ; savoir comment la foi en Christ devrait affecter les relations humaines. Par exemple, dans 1 Corinthiens 7 la question est de savoir si la foi en Christ implique qu’un mari et sa femme s’abstiennent de relations sexuelles. Paul donne une réponse négative très nette au verset 3. Un autre exemple dans les versets 12 à 16 est la question : que devrions-nous faire si un des deux époux met sa foi en Christ et pas l’autre ? Est-ce que le croyant devrait couper cette relation pour rester pur ? Encore une fois, Paul répond que non. Restez dans la relation que vous aviez lorsque Dieu vous a appelé à la foi. La foi en Christ le Seigneur et le Sauveur ne détruira jamais l’alliance établie dans le mariage que Dieu a ordonné au moment de la création.
Mais ceci dit, dans les versets 12 et 13, l’apôtre permet que, si le partenaire incroyant quitte le croyant et ne veut plus rien avoir affaire avec le croyant, alors le croyant n’est plus lié de façon permanente à cette relation. Autrement dit, la foi en Christ ne permet pas d’abandonner une relation voulue par Dieu, mais elle la sanctifie. Avec la persévérance, la prière et une conduite humble et exemplaire, le partenaire croyant patiente pour gagner l’incroyant pour Christ. Mais il est possible, comme Jésus l’a prédit dans Matthieu 10:34, que la rébellion et l’incrédulité du partenaire incroyant fasse du christianisme une épée qui sépare plutôt que d’être un baume qui apaise et guérit. Le principe que le croyant suit est alors de rester dans la relation ordonnée par Dieu et de ne pas chercher à abandonner ou à détruire la relation. Mais il permet une exception si la relation est abandonnée et détruite en dehors de votre volonté ou de votre contrôle par le partenaire incroyant. Le croyant innocent n’est pas lié à la personne qui déserte la relation.
Ici commence notre texte de 1 Corinthiens 7:17. Une fois que Paul a présenté ce principe de rester dans la relation du mariage ordonné par Dieu lorsqu’une personne devient chrétienne, Paul présente ce principe dans deux autres contextes. Lisons 1 Corinthiens 7:17–24.
17 Seulement, que chacun marche selon la part que le Seigneur lui a faite, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu. C’est ainsi que je l’ordonne dans toutes les Églises. 18 Quelqu’un a-t-il été appelé étant circoncis, qu’il demeure circoncis; quelqu’un a-t-il été appelé étant incirconcis, qu’il ne se fasse pas circoncire.
19 La circoncision n’est rien, et l’incirconcision n’est rien, mais c’est l’observation des commandements de Dieu (qui compte).
20 Que chacun demeure dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé.
21 As-tu été appelé en étant esclave, ne t’en inquiète pas; mais si tu peux devenir libre, profites-en plutôt.
22 Car l’esclave qui a été appelé dans le Seigneur est un affranchi du Seigneur; de même, (l’homme) libre qui a été appelé est un esclave de Christ.
23 Vous avez été rachetés à un (grand) prix; ne devenez pas esclaves des hommes.
24 Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé.
Le principe que Paul a déjà mentionné en lien avec le mariage est mentionné clairement trois fois ici. Remarquez ce que dit le verset 17 : « Seulement, que chacun marche selon la part que le Seigneur lui a faite, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu. C’est ainsi que je l’ordonne dans toutes les Églises. » Puis au verset 20 : « Que chacun demeure dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé. » Puis au verset 24 : « Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé. » Ces trois affirmations du principe de Paul divisent le texte en deux parties. Il peut être utile de les comparer à trois tranches de pains dans un sandwich en deux parties (comme un Big Mac). Entre les deux premiers principes se trouvent les versets 18 et 19 où le principe est appliqué à la circoncision ou l’incirconcision. Entre les deux suivants se trouvent les versets 21 à 23 où le principe est appliqué à l’esclavage et la liberté. Mais avant de pouvoir comprendre chacune de ces applications, nous devons clarifier un mot clé du principe même.
Avant de lire ce texte, orientons-nous par rapport au contexte qui le précède. L’un des problèmes de l’église de Corinthe était le manque d’assurance dans leur compréhension ; savoir comment la foi en Christ devrait affecter les relations humaines. Par exemple, dans 1 Corinthiens 7 la question est de savoir si la foi en Christ implique qu’un mari et sa femme s’abstiennent de relations sexuelles. Paul donne une réponse négative très nette au verset 3. Un autre exemple dans les versets 12 à 16 est la question : que devrions-nous faire si un des deux époux met sa foi en Christ et pas l’autre ? Est-ce que le croyant devrait couper cette relation pour rester pur ? Encore une fois, Paul répond que non. Restez dans la relation que vous aviez lorsque Dieu vous a appelé à la foi. La foi en Christ le Seigneur et le Sauveur ne détruira jamais l’alliance établie dans le mariage que Dieu a ordonné au moment de la création.
Mais ceci dit, dans les versets 12 et 13, l’apôtre permet que, si le partenaire incroyant quitte le croyant et ne veut plus rien avoir affaire avec le croyant, alors le croyant n’est plus lié de façon permanente à cette relation. Autrement dit, la foi en Christ ne permet pas d’abandonner une relation voulue par Dieu, mais elle la sanctifie. Avec la persévérance, la prière et une conduite humble et exemplaire, le partenaire croyant patiente pour gagner l’incroyant pour Christ. Mais il est possible, comme Jésus l’a prédit dans Matthieu 10:34, que la rébellion et l’incrédulité du partenaire incroyant fasse du christianisme une épée qui sépare plutôt que d’être un baume qui apaise et guérit. Le principe que le croyant suit est alors de rester dans la relation ordonnée par Dieu et de ne pas chercher à abandonner ou à détruire la relation. Mais il permet une exception si la relation est abandonnée et détruite en dehors de votre volonté ou de votre contrôle par le partenaire incroyant. Le croyant innocent n’est pas lié à la personne qui déserte la relation.
Ici commence notre texte de 1 Corinthiens 7:17. Une fois que Paul a présenté ce principe de rester dans la relation du mariage ordonné par Dieu lorsqu’une personne devient chrétienne, Paul présente ce principe dans deux autres contextes. Lisons 1 Corinthiens 7:17–24.
17 Seulement, que chacun marche selon la part que le Seigneur lui a faite, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu. C’est ainsi que je l’ordonne dans toutes les Églises. 18 Quelqu’un a-t-il été appelé étant circoncis, qu’il demeure circoncis; quelqu’un a-t-il été appelé étant incirconcis, qu’il ne se fasse pas circoncire.
19 La circoncision n’est rien, et l’incirconcision n’est rien, mais c’est l’observation des commandements de Dieu (qui compte).
20 Que chacun demeure dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé.
21 As-tu été appelé en étant esclave, ne t’en inquiète pas; mais si tu peux devenir libre, profites-en plutôt.
22 Car l’esclave qui a été appelé dans le Seigneur est un affranchi du Seigneur; de même, (l’homme) libre qui a été appelé est un esclave de Christ.
23 Vous avez été rachetés à un (grand) prix; ne devenez pas esclaves des hommes.
24 Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé.
19 La circoncision n’est rien, et l’incirconcision n’est rien, mais c’est l’observation des commandements de Dieu (qui compte).
20 Que chacun demeure dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé.
21 As-tu été appelé en étant esclave, ne t’en inquiète pas; mais si tu peux devenir libre, profites-en plutôt.
22 Car l’esclave qui a été appelé dans le Seigneur est un affranchi du Seigneur; de même, (l’homme) libre qui a été appelé est un esclave de Christ.
23 Vous avez été rachetés à un (grand) prix; ne devenez pas esclaves des hommes.
24 Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé.
Le principe que Paul a déjà mentionné en lien avec le mariage est mentionné clairement trois fois ici. Remarquez ce que dit le verset 17 : « Seulement, que chacun marche selon la part que le Seigneur lui a faite, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu. C’est ainsi que je l’ordonne dans toutes les Églises. » Puis au verset 20 : « Que chacun demeure dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé. » Puis au verset 24 : « Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé. » Ces trois affirmations du principe de Paul divisent le texte en deux parties. Il peut être utile de les comparer à trois tranches de pains dans un sandwich en deux parties (comme un Big Mac). Entre les deux premiers principes se trouvent les versets 18 et 19 où le principe est appliqué à la circoncision ou l’incirconcision. Entre les deux suivants se trouvent les versets 21 à 23 où le principe est appliqué à l’esclavage et la liberté. Mais avant de pouvoir comprendre chacune de ces applications, nous devons clarifier un mot clé du principe même.
De quel genre d’appel parlons-nous ?
Dans ce paragraphe, le mot « appel » est cité dans chacune de ces affirmations, neuf fois en tout. Lorsque Paul dit au verset 17 : « que chacun marche selon la part que le Seigneur lui a faite, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu. » et lorsqu’il dit au verset 24 : « Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé. » Il fait référence à un appel divin par lequel nous avons été amenés à croire en Christ. Nous utilisons souvent le mot « appel » pour faire référence à notre vocation : mon appel est d’être femme au foyer, mon appel est d’être un représentant commercial… Mais ce n’est pas dans ce sens que Paul a utilisé ce mot huit fois sur neuf dans ce paragraphe. Une seule fois, il utilise le mot « appel » dans le sens de « vocation », dans le verset 20. Le verset dit littéralement : « que chacun demeure dans « l’appel » (et non l’état) où il était lorsqu’il a été appelé. » Le mot « appel » fait ici référence à la vocation. Et au travers de cette vocation, un autre appel vient de Dieu. Cet appel est celui du Saint-Esprit qui nous attire dans une communion avec Christ. De façon très simple, l’appel de Dieu qui touche une personne dans sa vocation est la puissance de Dieu qui convertit l’âme au travers de l’Evangile.
Tout cela devient clair dans 1 Corinthiens 1. Dans le premier chapitre, au verset 9, Paul dit : « Dieu est fidèle, lui qui vous a appelés à la communion de son Fils, Jésus-Christ notre Seigneur. » Alors tous les chrétiens et seulement les chrétiens sont appelés de cette façon. Cet appel de Dieu est différent, d’un côté de notre appel en tant que vocation, et de l’autre de notre appel général à nous repentir tel qu’il est adressé à tous les hommes. Lorsque Jésus dit dans Matthieu 22:14 : « Car il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus. » il fait référence à l’appel mondial de l’Evangile que beaucoup entendent et rejettent à leur grande perte.
Mais il ne s’agit pas de l’appel auquel Paul pensait. L’appel de Dieu qui nous amène à croire, à aimer la communion avec Jésus est un appel puissant et efficace qui nous attire au Fils (Jean 6:44,65). Ceci est particulièrement clair dans 1 Corinthiens 1:23, 24, où Paul dit : «nous, nous prêchons Christ crucifié, scandale pour les Juifs et folie pour les païens, mais pour ceux qui sont appelés, tant Juifs que Grecs, Christ, puissance de Dieu et sagesse de Dieu. » Ceux qui sont appelés ne sont pas tous ceux qui entendent la prédication, mais ceux qui la reçoivent comme sagesse. Nous pouvons paraphraser ces versets afin de montrer la différence entre l’appel général et l’appel effectif. Paul dit : « Nous appelons chaque personne à croire en Christ crucifié, mais beaucoup de Juifs voient cet appel comme un scandale, et beaucoup de païens le voient comme une folie, mais ceux qui sont appelés (c'est-à-dire attirés avec puissance et efficacité à Christ) voient que l’appel de l’Evangile est la puissance et la sagesse de Dieu. »
Donc, lorsque Paul dit dans 1 Corinthiens 7:17, 20, et 24 que nous devrions rester et vivre avec Dieu dans l’état où nous étions lorsque nous avons été appelés, il veut dire : « Restez dans l’état dans lequel vous étiez lorsque vous vous êtes converti, lorsque vous avez été attiré par Dieu, pour croire, et aimer la communion avec son Fils.
Dans ce paragraphe, le mot « appel » est cité dans chacune de ces affirmations, neuf fois en tout. Lorsque Paul dit au verset 17 : « que chacun marche selon la part que le Seigneur lui a faite, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu. » et lorsqu’il dit au verset 24 : « Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé. » Il fait référence à un appel divin par lequel nous avons été amenés à croire en Christ. Nous utilisons souvent le mot « appel » pour faire référence à notre vocation : mon appel est d’être femme au foyer, mon appel est d’être un représentant commercial… Mais ce n’est pas dans ce sens que Paul a utilisé ce mot huit fois sur neuf dans ce paragraphe. Une seule fois, il utilise le mot « appel » dans le sens de « vocation », dans le verset 20. Le verset dit littéralement : « que chacun demeure dans « l’appel » (et non l’état) où il était lorsqu’il a été appelé. » Le mot « appel » fait ici référence à la vocation. Et au travers de cette vocation, un autre appel vient de Dieu. Cet appel est celui du Saint-Esprit qui nous attire dans une communion avec Christ. De façon très simple, l’appel de Dieu qui touche une personne dans sa vocation est la puissance de Dieu qui convertit l’âme au travers de l’Evangile.
Tout cela devient clair dans 1 Corinthiens 1. Dans le premier chapitre, au verset 9, Paul dit : « Dieu est fidèle, lui qui vous a appelés à la communion de son Fils, Jésus-Christ notre Seigneur. » Alors tous les chrétiens et seulement les chrétiens sont appelés de cette façon. Cet appel de Dieu est différent, d’un côté de notre appel en tant que vocation, et de l’autre de notre appel général à nous repentir tel qu’il est adressé à tous les hommes. Lorsque Jésus dit dans Matthieu 22:14 : « Car il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus. » il fait référence à l’appel mondial de l’Evangile que beaucoup entendent et rejettent à leur grande perte.
Mais il ne s’agit pas de l’appel auquel Paul pensait. L’appel de Dieu qui nous amène à croire, à aimer la communion avec Jésus est un appel puissant et efficace qui nous attire au Fils (Jean 6:44,65). Ceci est particulièrement clair dans 1 Corinthiens 1:23, 24, où Paul dit : «nous, nous prêchons Christ crucifié, scandale pour les Juifs et folie pour les païens, mais pour ceux qui sont appelés, tant Juifs que Grecs, Christ, puissance de Dieu et sagesse de Dieu. » Ceux qui sont appelés ne sont pas tous ceux qui entendent la prédication, mais ceux qui la reçoivent comme sagesse. Nous pouvons paraphraser ces versets afin de montrer la différence entre l’appel général et l’appel effectif. Paul dit : « Nous appelons chaque personne à croire en Christ crucifié, mais beaucoup de Juifs voient cet appel comme un scandale, et beaucoup de païens le voient comme une folie, mais ceux qui sont appelés (c'est-à-dire attirés avec puissance et efficacité à Christ) voient que l’appel de l’Evangile est la puissance et la sagesse de Dieu. »
Donc, lorsque Paul dit dans 1 Corinthiens 7:17, 20, et 24 que nous devrions rester et vivre avec Dieu dans l’état où nous étions lorsque nous avons été appelés, il veut dire : « Restez dans l’état dans lequel vous étiez lorsque vous vous êtes converti, lorsque vous avez été attiré par Dieu, pour croire, et aimer la communion avec son Fils.
Principe appliqué aux Juifs et aux païens
Nous devons maintenant voir comment Paul appliquait ce principe à son époque, et ce que cela signifie pour nous aujourd’hui. Au fur et à mesure de notre étude, nous verrons aussi une raison théologique émerger. La première application que Paul fait de ce principe n’est pas dans le domaine de la vocation, mais celui de la circoncision et de l’incirconcision. Voici comment il l’applique : Si vous étiez païen avant de vous convertir, n’essayez pas de devenir juif. Si vous étiez juif avant votre conversion, n’essayez pas de devenir comme un païen. C’est en gros la signification du fait d’être circoncis ou pas. Les implications culturelles sont grandes : Si vous êtes noir, n’essayez pas de devenir blanc ; si vous êtes blanc, n’essayez pas de devenir noir. Si vous êtes mexicain, n’essayez pas de devenir américain ; si vous êtes américain, n’essayez pas de devenir mexicain.
Puis Paul donne la raison théologique de cet avertissement. Le verset 19 dit littéralement : « La circoncision n’est rien, et l’incirconcision n’est rien, mais c’est l’observation des commandements de Dieu (qui compte). » C’est l’argument le plus blessant que Paul pouvait énoncer à un Juif : la circoncision n’est rien. Et si nous comprenons son application culturelle de manière large, c’est une offense pour chacun d’entre nous. Mais c’est vrai. Remarquez combien le raisonnement de Paul est radicalement différent des raisonnements courants d’aujourd’hui pour conserver nos distinctions culturelles. Nous disons, les blancs son magnifiques, les noirs sont magnifiques, les rouges sont magnifiques, les jaunes sont magnifiques, alors il est inutile de changer de culture. Paul dit : le fait d’être blanc, noir, rouge ou jaune n’est rien, mais gardez les commandements de Dieu en toutes choses ; et donc n’essayez pas de changer de culture. Restez où vous êtes et obéissez à Dieu. Paul est un penseur en dehors des modes changeantes, et il est donc toujours pertinent. Il est radicalement focalisé sur Dieu. Tout, toutes choses tombent face à la priorité de Dieu.
Il est absolument impératif de saisir cela, sinon, nous créons un nouveau légalisme. L’ancien légalisme disait : « vous devez être circoncis pour être sauvé (Actes 15:1). Vous devez être blanc afin d’être accepté. » Le nouveau légalisme dirait : « Vous ne pouvez pas être circoncis si vous voulez être sauvé. Vous ne pouvez pas être blanc si vous voulez être accepté. »Nous détournerons l’enseignement de Paul et nous passerons à côté de son intention si nous faisons de l’affirmation suivante : « Quelqu’un a-t-il été appelé étant incirconcis, qu’il ne se fasse pas circoncire. » (verset 18) une interdiction absolue d’adaptation culturelle. Paul n’est pas en train de prononcer une condamnation sur tous ceux qui adoptent des aspects d’autres cultures et abandonnent certains aspects de la leur. Ceci est clair par le fait qu’il a demandé à Timothée de se faire circoncire (Actes 16:3), et dans son affirmation de se faire tout à tous, afin d’en gagner quelques uns (1 Corinthiens 9:22).
Paul montre en fait que l’obéissance aux commandements de Dieu est beaucoup plus importante que tout autre trait distinctif culturel, que le seul fait de changer ces traits distinctifs n’aurait aucune importance pour les chrétiens. Autrement dit, ne vous inquiétez pas d’être circoncis ou non, ou d’être blanc, noir, rouge ou suédois. Mais au lieu de cela, prenez l’obéissance au sérieux ; mettez toute votre attention dans l’obéissance à la loi morale de Dieu et faites en le but de votre vie. Alors, et seulement à ce moment-là la circoncision (telle que Paul en parle dans Romains 2:25) et d’autres traits distinctifs culturels trouvent leur beauté, de façon secondaire et dérivée, en tant qu’expressions de l’obéissance de la foi. En un mot, l’application du principe énoncé par Paul concernant les distinctions culturelles, est le suivant : ne vous tourmentez pas et ne vous vantez pas de votre état présent par rapport à vos spécificités culturelles. Elles ont peu d’importance pour Dieu en comparaison avec le fait d’être engagé avec Dieu corps, âme et esprit, pour obéir à ses commandements qui se résument dans l’affirmation : « Aime ton prochain comme toi- même. » (Romains 13:8–10; Galates 5:14).
Nous devons maintenant voir comment Paul appliquait ce principe à son époque, et ce que cela signifie pour nous aujourd’hui. Au fur et à mesure de notre étude, nous verrons aussi une raison théologique émerger. La première application que Paul fait de ce principe n’est pas dans le domaine de la vocation, mais celui de la circoncision et de l’incirconcision. Voici comment il l’applique : Si vous étiez païen avant de vous convertir, n’essayez pas de devenir juif. Si vous étiez juif avant votre conversion, n’essayez pas de devenir comme un païen. C’est en gros la signification du fait d’être circoncis ou pas. Les implications culturelles sont grandes : Si vous êtes noir, n’essayez pas de devenir blanc ; si vous êtes blanc, n’essayez pas de devenir noir. Si vous êtes mexicain, n’essayez pas de devenir américain ; si vous êtes américain, n’essayez pas de devenir mexicain.
Puis Paul donne la raison théologique de cet avertissement. Le verset 19 dit littéralement : « La circoncision n’est rien, et l’incirconcision n’est rien, mais c’est l’observation des commandements de Dieu (qui compte). » C’est l’argument le plus blessant que Paul pouvait énoncer à un Juif : la circoncision n’est rien. Et si nous comprenons son application culturelle de manière large, c’est une offense pour chacun d’entre nous. Mais c’est vrai. Remarquez combien le raisonnement de Paul est radicalement différent des raisonnements courants d’aujourd’hui pour conserver nos distinctions culturelles. Nous disons, les blancs son magnifiques, les noirs sont magnifiques, les rouges sont magnifiques, les jaunes sont magnifiques, alors il est inutile de changer de culture. Paul dit : le fait d’être blanc, noir, rouge ou jaune n’est rien, mais gardez les commandements de Dieu en toutes choses ; et donc n’essayez pas de changer de culture. Restez où vous êtes et obéissez à Dieu. Paul est un penseur en dehors des modes changeantes, et il est donc toujours pertinent. Il est radicalement focalisé sur Dieu. Tout, toutes choses tombent face à la priorité de Dieu.
Il est absolument impératif de saisir cela, sinon, nous créons un nouveau légalisme. L’ancien légalisme disait : « vous devez être circoncis pour être sauvé (Actes 15:1). Vous devez être blanc afin d’être accepté. » Le nouveau légalisme dirait : « Vous ne pouvez pas être circoncis si vous voulez être sauvé. Vous ne pouvez pas être blanc si vous voulez être accepté. »Nous détournerons l’enseignement de Paul et nous passerons à côté de son intention si nous faisons de l’affirmation suivante : « Quelqu’un a-t-il été appelé étant incirconcis, qu’il ne se fasse pas circoncire. » (verset 18) une interdiction absolue d’adaptation culturelle. Paul n’est pas en train de prononcer une condamnation sur tous ceux qui adoptent des aspects d’autres cultures et abandonnent certains aspects de la leur. Ceci est clair par le fait qu’il a demandé à Timothée de se faire circoncire (Actes 16:3), et dans son affirmation de se faire tout à tous, afin d’en gagner quelques uns (1 Corinthiens 9:22).
Paul montre en fait que l’obéissance aux commandements de Dieu est beaucoup plus importante que tout autre trait distinctif culturel, que le seul fait de changer ces traits distinctifs n’aurait aucune importance pour les chrétiens. Autrement dit, ne vous inquiétez pas d’être circoncis ou non, ou d’être blanc, noir, rouge ou suédois. Mais au lieu de cela, prenez l’obéissance au sérieux ; mettez toute votre attention dans l’obéissance à la loi morale de Dieu et faites en le but de votre vie. Alors, et seulement à ce moment-là la circoncision (telle que Paul en parle dans Romains 2:25) et d’autres traits distinctifs culturels trouvent leur beauté, de façon secondaire et dérivée, en tant qu’expressions de l’obéissance de la foi. En un mot, l’application du principe énoncé par Paul concernant les distinctions culturelles, est le suivant : ne vous tourmentez pas et ne vous vantez pas de votre état présent par rapport à vos spécificités culturelles. Elles ont peu d’importance pour Dieu en comparaison avec le fait d’être engagé avec Dieu corps, âme et esprit, pour obéir à ses commandements qui se résument dans l’affirmation : « Aime ton prochain comme toi- même. » (Romains 13:8–10; Galates 5:14).
Le principe appliqué aux esclaves et aux hommes libres
Puis, dans les versets 21 à 23, Paul applique ce principe à la question de savoir si l’on est esclave ou libre. Il y a une grande difficulté de traduction dans le verset 21. La plupart des versions modernes disent : « As-tu été appelé en étant esclave, ne t’en inquiète pas; mais si tu peux devenir libre, profites-en plutôt. » Peut-être est-ce juste, mais je trouve cela difficile à accepter puisque le principe qu’il illustre est exprimé de la façon suivant dans le verset 20 : « Que chacun demeure dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé. » et dans le verset 24 : « Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé. » Le verset 21 semble en décalage par rapport à ces deux versets en disant : « Si tu peux devenir libre, profites-en plutôt. » Non seulement cela, mais cette traduction ne respecte pas tous les mots grecs (comme « même si ») ce qui devient dans une autre traduction : « Etais-tu esclave lors de ton appel? Ne te fais pas de souci à ce sujet. Même si tu peux devenir libre, vois les avantages de ta condition présente et mets-les à profit. » (PVV) Le réel contraste, à mon avis, devrait être exprimé ainsi : « Ne te fais pas de souci au sujet de ta condition d’esclave, mais au lieu de cela, utilise-la. » Utilise-la pour obéir à Christ et ainsi : « faire honorer en tout la doctrine de Dieu notre Sauveur. » (Tite 2:10).
Je pense qu’il est vrai que dans l’analyse finale il ne s’agit pas d’une interdiction absolue d’accepter la liberté, pas plus que dans le verset 18 il ne s’agit d’une interdiction absolue de la circoncision. Mais si la traduction exprime comme un commandement de rechercher la liberté, le véritable sens du passage est caché. Le sens est en fait que : lorsque vous êtes appelé dans la communion avec Christ, vos priorités changent radicalement et deviennent centrées sur Christ ; à tel point que si vous êtes esclave, cela ne devrait pas vous tourmenter. « As-tu été appelé en étant esclave, ne t’en inquiète pas. » Votre travail n’est peut-être pas très valorisant. Ne vous inquiétez pas. Il a soulevé la même question en parlant des différences culturelles telles que la circoncision : étiez-vous circoncis ? Ne vous inquiétez pas. Etiez-vous incirconcis ? Ne vous inquiétez pas.
Paul aurait pu donner la même raison théologique sur ce point, comme il l’a fait dans le verset 19. Il aurait pu dire : « Etre un esclave n’est rien, et être un homme libre n’est rien, mais c’est l’observation des commandements de Dieu qui compte. » Mais Paul approfondit notre compréhension théologique en donnant une autre raison. La raison pour laquelle une personne ne doit pas s’inquiéter, même si elle est esclave, est la suivante, au verset 22 : « Car l’esclave qui a été appelé dans le Seigneur est un affranchi du Seigneur. » Et la raison pour laquelle une personne libre ne doit pas s’inquiéter est la même : « l’homme libre qui a été appelé est un esclave de Christ. » J’aime la façon dont Paul exprime sa théologie. Il dit que dans l’Evangile, il y a un antidote contre les emplois difficiles et un antidote contre l’orgueil dans les emplois haut-placés. Il regarde à l’esclave qui peut se sentir désespéré et il dit : « En Christ, vous êtes un homme libre. Vous avez été racheté à un prix élevé. Aucun homme ne peut faire de votre âme une esclave. Réjouissez-vous dans le Seigneur et mettez votre espérance en lui et vous serez plus libre que tous les nobles. » Puis il regarde au noble libre et il dit : « Ne soyez pas orgueilleux, car en Christ vous êtes un esclave. Il a autorité sur vous, et vous devez être humble et soumis. »
Le résultat final est que la condition d’un homme, qu’il soit esclave ou libre, ne devrait pas être une cause de désespoir ni d’orgueil. Il devrait pouvoir dire : « Je ne m’inquiète pas. » Il ne devrait pas se vanter s’il est médecin, avocat ou un grand patron, il ne devrait pas avoir pitié de lui-même ni être déprimé s’il a un travail qui n’est pas bien vu dans la société. « Que chacun, frères, » conclut Paul dans le verset 24, « demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé. » Devant Dieu ! Voici le mot clé. Ce qui compte dans la vie et dans la vie éternelle, c’est de rester proche de Dieu et d’apprécier sa présence. Peu importe si votre travail est valorisant ou pas. Ce qui compte, c’est que vous soyez encouragé et humble dans la présence de Dieu.
Si on rapproche les deux applications du principe de Paul, voici à quoi ressemble son enseignement : « Obéir aux commandements de Dieu (v. 19) et apprécier sa présence (v.24) sont largement plus importants que votre culture ou votre emploi, à tel point que vous ne devriez ressentir aucune obligation d’en changer. Vous ne devriez pas être amené à quitter l’un par crainte ou désespoir, ni être attiré par l’autre pour la richesse ou par orgueil. Vous devriez pouvoir dire de votre situation : « je ne m’inquiète pas. Ma vie ne dépend pas de cela. Ma vie est d’obéir à Dieu et d’apprécier sa présence. »
Puis, dans les versets 21 à 23, Paul applique ce principe à la question de savoir si l’on est esclave ou libre. Il y a une grande difficulté de traduction dans le verset 21. La plupart des versions modernes disent : « As-tu été appelé en étant esclave, ne t’en inquiète pas; mais si tu peux devenir libre, profites-en plutôt. » Peut-être est-ce juste, mais je trouve cela difficile à accepter puisque le principe qu’il illustre est exprimé de la façon suivant dans le verset 20 : « Que chacun demeure dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé. » et dans le verset 24 : « Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé. » Le verset 21 semble en décalage par rapport à ces deux versets en disant : « Si tu peux devenir libre, profites-en plutôt. » Non seulement cela, mais cette traduction ne respecte pas tous les mots grecs (comme « même si ») ce qui devient dans une autre traduction : « Etais-tu esclave lors de ton appel? Ne te fais pas de souci à ce sujet. Même si tu peux devenir libre, vois les avantages de ta condition présente et mets-les à profit. » (PVV) Le réel contraste, à mon avis, devrait être exprimé ainsi : « Ne te fais pas de souci au sujet de ta condition d’esclave, mais au lieu de cela, utilise-la. » Utilise-la pour obéir à Christ et ainsi : « faire honorer en tout la doctrine de Dieu notre Sauveur. » (Tite 2:10).
Je pense qu’il est vrai que dans l’analyse finale il ne s’agit pas d’une interdiction absolue d’accepter la liberté, pas plus que dans le verset 18 il ne s’agit d’une interdiction absolue de la circoncision. Mais si la traduction exprime comme un commandement de rechercher la liberté, le véritable sens du passage est caché. Le sens est en fait que : lorsque vous êtes appelé dans la communion avec Christ, vos priorités changent radicalement et deviennent centrées sur Christ ; à tel point que si vous êtes esclave, cela ne devrait pas vous tourmenter. « As-tu été appelé en étant esclave, ne t’en inquiète pas. » Votre travail n’est peut-être pas très valorisant. Ne vous inquiétez pas. Il a soulevé la même question en parlant des différences culturelles telles que la circoncision : étiez-vous circoncis ? Ne vous inquiétez pas. Etiez-vous incirconcis ? Ne vous inquiétez pas.
Paul aurait pu donner la même raison théologique sur ce point, comme il l’a fait dans le verset 19. Il aurait pu dire : « Etre un esclave n’est rien, et être un homme libre n’est rien, mais c’est l’observation des commandements de Dieu qui compte. » Mais Paul approfondit notre compréhension théologique en donnant une autre raison. La raison pour laquelle une personne ne doit pas s’inquiéter, même si elle est esclave, est la suivante, au verset 22 : « Car l’esclave qui a été appelé dans le Seigneur est un affranchi du Seigneur. » Et la raison pour laquelle une personne libre ne doit pas s’inquiéter est la même : « l’homme libre qui a été appelé est un esclave de Christ. » J’aime la façon dont Paul exprime sa théologie. Il dit que dans l’Evangile, il y a un antidote contre les emplois difficiles et un antidote contre l’orgueil dans les emplois haut-placés. Il regarde à l’esclave qui peut se sentir désespéré et il dit : « En Christ, vous êtes un homme libre. Vous avez été racheté à un prix élevé. Aucun homme ne peut faire de votre âme une esclave. Réjouissez-vous dans le Seigneur et mettez votre espérance en lui et vous serez plus libre que tous les nobles. » Puis il regarde au noble libre et il dit : « Ne soyez pas orgueilleux, car en Christ vous êtes un esclave. Il a autorité sur vous, et vous devez être humble et soumis. »
Le résultat final est que la condition d’un homme, qu’il soit esclave ou libre, ne devrait pas être une cause de désespoir ni d’orgueil. Il devrait pouvoir dire : « Je ne m’inquiète pas. » Il ne devrait pas se vanter s’il est médecin, avocat ou un grand patron, il ne devrait pas avoir pitié de lui-même ni être déprimé s’il a un travail qui n’est pas bien vu dans la société. « Que chacun, frères, » conclut Paul dans le verset 24, « demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé. » Devant Dieu ! Voici le mot clé. Ce qui compte dans la vie et dans la vie éternelle, c’est de rester proche de Dieu et d’apprécier sa présence. Peu importe si votre travail est valorisant ou pas. Ce qui compte, c’est que vous soyez encouragé et humble dans la présence de Dieu.
Si on rapproche les deux applications du principe de Paul, voici à quoi ressemble son enseignement : « Obéir aux commandements de Dieu (v. 19) et apprécier sa présence (v.24) sont largement plus importants que votre culture ou votre emploi, à tel point que vous ne devriez ressentir aucune obligation d’en changer. Vous ne devriez pas être amené à quitter l’un par crainte ou désespoir, ni être attiré par l’autre pour la richesse ou par orgueil. Vous devriez pouvoir dire de votre situation : « je ne m’inquiète pas. Ma vie ne dépend pas de cela. Ma vie est d’obéir à Dieu et d’apprécier sa présence. »
Quatre implications pratiques
Laissez-moi terminer par quelques implications pratiques. Premièrement, Dieu est beaucoup plus concerné par la façon dont nous faisons notre travail que par le fait que nous ayons un nouveau travail à faire. Dans cette assemblée, nous avons des infirmières, des enseignants, des charpentiers, des artistes, des secrétaires, des libraires, des avocats, des réceptionnistes, des comptables, des assistants sociaux, différents types de réparateurs, des ingénieurs, des cadres, des serveuses, des plombiers, des commerciaux, des agents de sécurité, des médecins, des militaires, des psychologues, des banquiers, des policiers, des décorateurs, des musiciens, des architectes, des peintres, des femmes de ménage, des administrateurs d’écoles, des femmes au foyer, des missionnaires, des pasteurs, et beaucoup d’autres métiers. Et nous avons tous besoin d’entendre que ce qui est important pour Dieu n’est pas que nous passions d’un métier à un autre, mais que dans notre travail présent nous appréciions la promesse de la présence de Dieu et que nous obéissions à ses commandements dans la façon dont nous faisons notre travail.
Deuxièmement, comme nous l’avons vu, le commandement de rester dans l’appel que nous avions au moment de notre conversion n’est pas absolu. Le fait de changer de travail n’est pas condamné. Nous savons cela, non seulement à cause des exceptions que Paul a permis dans son principe, dans le verset 15 ici, mais aussi parce que Les Ecritures décrivent et approuvent de tels changements. La libération des esclaves est possible dans l’Ancien Testament, et nous connaissons un collecteur d’impôts qui est devenu prédicateur et des pêcheurs qui sont devenus missionnaires. A part cela, nous savons qu’il existe certains métiers que vous ne pouvez conserver tout en obéissant aux commandements de Dieu, par exemple : La prostitution, de nombreuses formes de divertissements indécents ou corrompus, et d’autres métiers dans lesquels on peut vous forcer à exploiter d’autres personnes.
Paul ne dit pas qu’un voleur professionnel ou une prostituée du culte des idoles de Corinthe devrait rester dans cette situation dans laquelle ils se trouvaient au moment où ils ont été appelés. La question qui se posait à Corinthe était : Lorsque nous venons à Christ, que devons-nous abandonner. Et la réponse de Paul est : Vous n’avez pas besoin d’abandonner votre vocation, si vous pouvez la conserver avec Dieu. Son but n’est pas de condamner les changements de métier, mais d’enseigner que vous pouvez être comblé en Christ, quelque soit votre métier. Ce n’est pas un enseignement très populaire dans la société occidentale actuelle, mais cela coupe court aux ambitions mondaines. Nous devons bien réfléchir pour voir si ce que nous communiquons à nos enfants à propos de la réussite, est biblique ou simplement culturel. La parole de Dieu pour les personnes qui recherchent la réussite est : « Prenez toute cette ambition pour laquelle vous dépensez toute votre énergie, et transformez-la plutôt en zèle spirituel afin de cultiver votre joie dans la présence de Dieu et l’obéissance à sa volonté révélée dans les Ecritures.
Troisièmement, pour les plus jeunes d’entre vous qui ne sont pas encore engagés dans une profession, voici l’implication de ce texte : Lorsque vous vous posez la question de savoir quelle est la volonté de Dieu pour votre vie, vous devriez répondre : « Sa volonté est que je conserve une relation proche avec lui et que je me consacre à obéir à ses commandements. » La volonté de Dieu qui vous est révélée (la seule volonté à laquelle vous avez la responsabilité d’obéir) est votre sanctification (1 Thessaloniciens 4:3), et non votre vocation. Consacrez-vous à cela de tout votre cœur, et exercez la profession que vous voulez. Je n’ai aucun doute que si tous nos jeunes font tous les efforts pour rester proches de Dieu et pour obéir aux commandements des Ecritures, Dieu les enverra dans le monde à l’endroit exact où il veut qu’ils exercent une influence en sa faveur.
Quatrièmement, ce texte implique finalement que le travail que vous exercez en ce moment, aussi longtemps que vous l’exercez, c’est la volonté de Dieu pour vous. Le verset 17 dit : « Que chacun marche selon la part que le Seigneur lui a faite. » Dieu est souverain. Ce n’est pas par accident que vous êtes à l’endroit où vous vous trouvez. « L’homme élabore des plans, le Seigneur en dirige la réalisation » (Proverbes 16:9 BFC). « L’homme élabore de nombreux plans, mais seule la décision du Seigneur se réalise » (Proverbes 19:21 BFC). « On jette les dés pour connaître l’avenir, mais c’est le Seigneur qui détermine la réponse » (Proverbes 16:33 BFC).
C’est Dieu qui vous a mis à l’endroit où vous vous trouvez, même si vous êtes arrivé là en trichant. Votre emploi, c’est votre ministère, tout comme le mien. La façon dont vous accomplissez ce qui vous est demandé est tout aussi essentielle dans la vie que ce que vous faites le dimanche. Pour beaucoup d’entre nous, cela peut vouloir dire qu’il faut tourner une nouvelle page demain matin. Prions tous avant de commencer à travailler : « Dieu, viens avec moi aujourd’hui et garde en moi la conscience de ta présence. Encourage mon cœur lorsque j’ai tendance à me décourager, et rends-moi humble lorsque j’ai tendance à me vanter. O Dieu, donne-moi la grâce d’obéir à tes commandements, qui je le sais, sont tous résumés en ceci : ‘Aime ton prochain comme toi-même’. Amen »
John piper
Laissez-moi terminer par quelques implications pratiques. Premièrement, Dieu est beaucoup plus concerné par la façon dont nous faisons notre travail que par le fait que nous ayons un nouveau travail à faire. Dans cette assemblée, nous avons des infirmières, des enseignants, des charpentiers, des artistes, des secrétaires, des libraires, des avocats, des réceptionnistes, des comptables, des assistants sociaux, différents types de réparateurs, des ingénieurs, des cadres, des serveuses, des plombiers, des commerciaux, des agents de sécurité, des médecins, des militaires, des psychologues, des banquiers, des policiers, des décorateurs, des musiciens, des architectes, des peintres, des femmes de ménage, des administrateurs d’écoles, des femmes au foyer, des missionnaires, des pasteurs, et beaucoup d’autres métiers. Et nous avons tous besoin d’entendre que ce qui est important pour Dieu n’est pas que nous passions d’un métier à un autre, mais que dans notre travail présent nous appréciions la promesse de la présence de Dieu et que nous obéissions à ses commandements dans la façon dont nous faisons notre travail.
Deuxièmement, comme nous l’avons vu, le commandement de rester dans l’appel que nous avions au moment de notre conversion n’est pas absolu. Le fait de changer de travail n’est pas condamné. Nous savons cela, non seulement à cause des exceptions que Paul a permis dans son principe, dans le verset 15 ici, mais aussi parce que Les Ecritures décrivent et approuvent de tels changements. La libération des esclaves est possible dans l’Ancien Testament, et nous connaissons un collecteur d’impôts qui est devenu prédicateur et des pêcheurs qui sont devenus missionnaires. A part cela, nous savons qu’il existe certains métiers que vous ne pouvez conserver tout en obéissant aux commandements de Dieu, par exemple : La prostitution, de nombreuses formes de divertissements indécents ou corrompus, et d’autres métiers dans lesquels on peut vous forcer à exploiter d’autres personnes.
Paul ne dit pas qu’un voleur professionnel ou une prostituée du culte des idoles de Corinthe devrait rester dans cette situation dans laquelle ils se trouvaient au moment où ils ont été appelés. La question qui se posait à Corinthe était : Lorsque nous venons à Christ, que devons-nous abandonner. Et la réponse de Paul est : Vous n’avez pas besoin d’abandonner votre vocation, si vous pouvez la conserver avec Dieu. Son but n’est pas de condamner les changements de métier, mais d’enseigner que vous pouvez être comblé en Christ, quelque soit votre métier. Ce n’est pas un enseignement très populaire dans la société occidentale actuelle, mais cela coupe court aux ambitions mondaines. Nous devons bien réfléchir pour voir si ce que nous communiquons à nos enfants à propos de la réussite, est biblique ou simplement culturel. La parole de Dieu pour les personnes qui recherchent la réussite est : « Prenez toute cette ambition pour laquelle vous dépensez toute votre énergie, et transformez-la plutôt en zèle spirituel afin de cultiver votre joie dans la présence de Dieu et l’obéissance à sa volonté révélée dans les Ecritures.
Troisièmement, pour les plus jeunes d’entre vous qui ne sont pas encore engagés dans une profession, voici l’implication de ce texte : Lorsque vous vous posez la question de savoir quelle est la volonté de Dieu pour votre vie, vous devriez répondre : « Sa volonté est que je conserve une relation proche avec lui et que je me consacre à obéir à ses commandements. » La volonté de Dieu qui vous est révélée (la seule volonté à laquelle vous avez la responsabilité d’obéir) est votre sanctification (1 Thessaloniciens 4:3), et non votre vocation. Consacrez-vous à cela de tout votre cœur, et exercez la profession que vous voulez. Je n’ai aucun doute que si tous nos jeunes font tous les efforts pour rester proches de Dieu et pour obéir aux commandements des Ecritures, Dieu les enverra dans le monde à l’endroit exact où il veut qu’ils exercent une influence en sa faveur.
Quatrièmement, ce texte implique finalement que le travail que vous exercez en ce moment, aussi longtemps que vous l’exercez, c’est la volonté de Dieu pour vous. Le verset 17 dit : « Que chacun marche selon la part que le Seigneur lui a faite. » Dieu est souverain. Ce n’est pas par accident que vous êtes à l’endroit où vous vous trouvez. « L’homme élabore des plans, le Seigneur en dirige la réalisation » (Proverbes 16:9 BFC). « L’homme élabore de nombreux plans, mais seule la décision du Seigneur se réalise » (Proverbes 19:21 BFC). « On jette les dés pour connaître l’avenir, mais c’est le Seigneur qui détermine la réponse » (Proverbes 16:33 BFC).
C’est Dieu qui vous a mis à l’endroit où vous vous trouvez, même si vous êtes arrivé là en trichant. Votre emploi, c’est votre ministère, tout comme le mien. La façon dont vous accomplissez ce qui vous est demandé est tout aussi essentielle dans la vie que ce que vous faites le dimanche. Pour beaucoup d’entre nous, cela peut vouloir dire qu’il faut tourner une nouvelle page demain matin. Prions tous avant de commencer à travailler : « Dieu, viens avec moi aujourd’hui et garde en moi la conscience de ta présence. Encourage mon cœur lorsque j’ai tendance à me décourager, et rends-moi humble lorsque j’ai tendance à me vanter. O Dieu, donne-moi la grâce d’obéir à tes commandements, qui je le sais, sont tous résumés en ceci : ‘Aime ton prochain comme toi-même’. Amen »
John piper
John piper
Parabole: Une vie de victoire - Reinhard Bonnke
J’aimerais aujourd’hui vous raconter une parabole
Jean habitait une maison de deux étages, avec cinq pièces au rez-de-chaussée et cinq pièces en haut.Un jour, il entendit quelqu’un frapper doucement à la porte. Lorsque Jean ouvrit, le Seigneur Jésus se tenait en face de lui. « Viens, entre », dit Jean, excité par cette visite inattendue. « Je vais te donner la meilleure chambre de la maison – elle est en haut ». Comme Jésus est un gentleman, il remercia Jean et accepta avec joie l’invitation.
Le lendemain, quelqu’un martela la porte d’entrée avec fracas. Lorsque Jean ouvrit, qui était là ? Le Diable. « Non », cria Jean, « Je ne te veux pas ici ». Mais le diable ricana et dit : « Je suis déjà à l’intérieur » – et il poussa Jean de côté. Une grande lutte commença alors. Satan déversa sur Jean des tentations, des souillures, des pensées négatives, pleines de péchés ; c’était horrible. Vers le soir, Jean reprit le dessus ; il jeta le diable hors de la maison et ferma la porte. Essayant de retrouver ses esprits et son souffle, il se dit soudain : « Mais, j’ai donné à Jésus la meilleure chambre de la maison. Pourquoi n’est-Il pas descendu pour m’aider ? »
Jean posa la question à Jésus qui lui répondit : « Tu m’as donné seulement une de tes dix pièces ». Jean reconnut le problème, tomba sur ses genoux et dit : « Seigneur Jésus, je vois mon erreur. Pardonne-moi, s’il te plaît. Je te donne à partir de maintenant la moitié de la maison ». Jésus accepta poliment son offre.
Le jour suivant ressembla au précédent. Le Diable réussit à entrer dans la maison et il y eut à nouveau une lutte. Vers le soir, Jean était totalement exténué et se demanda à nouveau : « Pourquoi Jésus n’est-Il pas venu m’aider aujourd’hui ? Je vais aller le Lui demander ».
Le Seigneur dit : « Mon enfant, pourquoi ne me donnes-tu pas la maison dans son intégralité ? Alors je ne serai plus un invité ici. Pourquoi ne me donnes-tu pas libre champ ? ». Jean éclata en sanglots. Il sortit de sa poche la clé de la porte d’entrée et la tendit à Jésus. « S’il te plaît, sois le Seigneur de ma vie entière », dit-il. Il avait maintenant tout remis à Jésus.
Le lendemain, alors qu’il faisait encore nuit, quelqu’un frappa si durement à la porte d’entrée que toute la maison trembla. Jean sauta de son lit, tremblant de peur. « Oh, non, c’est à nouveau le Diable », gémit-il. Mais soudain, il entendit des pas dans la maison. C’était Jésus qui se dirigeait avec majesté et puissance vers la porte d’entrée. Il détenait la clé de la maison. C’était maintenant à Lui d’aller ouvrir. Jean se demanda ce qui allait se passer et courut se tenir derrière Jésus, lorsque le Seigneur ouvrit grand la porte. Qui était-ce ? Le Diable bien sûr. Pourtant, lorsque le Diable vit Jésus à la porte, il s’inclina très bas par terre et dit : « Pardonnez-moi, monsieur. J’ai dû frapper à la mauvaise porte ! » Et il prit ses jambes à son cou.
Est-ce que Jésus est Seigneur de chaque partie de votre vie ?
Ou est-Il Seigneur de seulement quelques pièces de votre maison ? Certaines personnes ont donné à Jésus neuf pièces de la maison de leur vie et à la porte de la chambre numéro 10, il y a un écriteau : « Privé – interdiction d’entrer ». Dans cette pièce se cache des péchés, des mensonges, des déceptions, des impuretés, des choses qu’ils savent que Jésus n’aime pas. Dans cette chambre, ils mènent une double vie. Ce sont les choses qui donnent à Satan le droit de frapper à la porte d’entrée de leur maison et d’entrer de force à l’intérieur.
Jésus ne peut pas être trompé. Il connaît chaque détail de notre vie et l’état de chaque pièce de notre vie – même des endroits que nous essayons avec minutie de Lui cacher.
Donnez-Lui la maison entière de votre vie : Tout, chaque endroit ! Il aimerait enlever toute la saleté, nettoyer et ranger chaque endroit, mettre en ordre cette maison et ouvrir toutes les fenêtres pour laisser entrer de l’air frais et de la lumière.
Il aimerait que chaque partie de votre vie soit un endroit où Il aime passer du temps et où Il se sent à l’aise.
Invitez-Le de tout votre cœur à être le Seigneur de chaque partie de votre vie. Avec vos propres mots, dites quelque chose comme ce qui figure ci-dessous :
« Cher Seigneur Jésus Christ,
Je te donne chaque pièce, chaque coin et recoin de la maison de ma vie.
Je te donne volontairement TOUT, car Tu es mon Seigneur et mon Sauveur !
Tu connais tous mes péchés, ma situation et mes dépendances.
Je mets toute ma confiance en toi, le Fils du Dieu vivant. Purifie-moi et fais de ma vie un endroit où tu te sens à l’aise et qui t’honore.
Je m’ouvre à Ton Saint-Esprit et j’aimerais Te suivre tous les jours de ma vie.
Je mets ma confiance en Toi.
Sois, s’il te plaît le Seigneur de toute ma vie ! »
Voilà ce que je recommande si vous voulez vivre une vie de victoire !
REINHARD BONNKE
Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus Christ !
1 Corinthiens 15 : 57
Ainsi donc, vous n’êtes
plus des étrangers,
ni des gens du dehors ;
mais vous êtes
concitoyens des saints,
gens de la maison de Dieu.
Ephesiens 2 : 19

Jean habitait une maison de deux étages, avec cinq pièces au rez-de-chaussée et cinq pièces en haut.Un jour, il entendit quelqu’un frapper doucement à la porte. Lorsque Jean ouvrit, le Seigneur Jésus se tenait en face de lui. « Viens, entre », dit Jean, excité par cette visite inattendue. « Je vais te donner la meilleure chambre de la maison – elle est en haut ». Comme Jésus est un gentleman, il remercia Jean et accepta avec joie l’invitation.
Le lendemain, quelqu’un martela la porte d’entrée avec fracas. Lorsque Jean ouvrit, qui était là ? Le Diable. « Non », cria Jean, « Je ne te veux pas ici ». Mais le diable ricana et dit : « Je suis déjà à l’intérieur » – et il poussa Jean de côté. Une grande lutte commença alors. Satan déversa sur Jean des tentations, des souillures, des pensées négatives, pleines de péchés ; c’était horrible. Vers le soir, Jean reprit le dessus ; il jeta le diable hors de la maison et ferma la porte. Essayant de retrouver ses esprits et son souffle, il se dit soudain : « Mais, j’ai donné à Jésus la meilleure chambre de la maison. Pourquoi n’est-Il pas descendu pour m’aider ? »
Jean posa la question à Jésus qui lui répondit : « Tu m’as donné seulement une de tes dix pièces ». Jean reconnut le problème, tomba sur ses genoux et dit : « Seigneur Jésus, je vois mon erreur. Pardonne-moi, s’il te plaît. Je te donne à partir de maintenant la moitié de la maison ». Jésus accepta poliment son offre.
Le jour suivant ressembla au précédent. Le Diable réussit à entrer dans la maison et il y eut à nouveau une lutte. Vers le soir, Jean était totalement exténué et se demanda à nouveau : « Pourquoi Jésus n’est-Il pas venu m’aider aujourd’hui ? Je vais aller le Lui demander ».
Le Seigneur dit : « Mon enfant, pourquoi ne me donnes-tu pas la maison dans son intégralité ? Alors je ne serai plus un invité ici. Pourquoi ne me donnes-tu pas libre champ ? ». Jean éclata en sanglots. Il sortit de sa poche la clé de la porte d’entrée et la tendit à Jésus. « S’il te plaît, sois le Seigneur de ma vie entière », dit-il. Il avait maintenant tout remis à Jésus.
Le lendemain, alors qu’il faisait encore nuit, quelqu’un frappa si durement à la porte d’entrée que toute la maison trembla. Jean sauta de son lit, tremblant de peur. « Oh, non, c’est à nouveau le Diable », gémit-il. Mais soudain, il entendit des pas dans la maison. C’était Jésus qui se dirigeait avec majesté et puissance vers la porte d’entrée. Il détenait la clé de la maison. C’était maintenant à Lui d’aller ouvrir. Jean se demanda ce qui allait se passer et courut se tenir derrière Jésus, lorsque le Seigneur ouvrit grand la porte. Qui était-ce ? Le Diable bien sûr. Pourtant, lorsque le Diable vit Jésus à la porte, il s’inclina très bas par terre et dit : « Pardonnez-moi, monsieur. J’ai dû frapper à la mauvaise porte ! » Et il prit ses jambes à son cou.
Est-ce que Jésus est Seigneur de chaque partie de votre vie ?
Ou est-Il Seigneur de seulement quelques pièces de votre maison ? Certaines personnes ont donné à Jésus neuf pièces de la maison de leur vie et à la porte de la chambre numéro 10, il y a un écriteau : « Privé – interdiction d’entrer ». Dans cette pièce se cache des péchés, des mensonges, des déceptions, des impuretés, des choses qu’ils savent que Jésus n’aime pas. Dans cette chambre, ils mènent une double vie. Ce sont les choses qui donnent à Satan le droit de frapper à la porte d’entrée de leur maison et d’entrer de force à l’intérieur.
Jésus ne peut pas être trompé. Il connaît chaque détail de notre vie et l’état de chaque pièce de notre vie – même des endroits que nous essayons avec minutie de Lui cacher.
Donnez-Lui la maison entière de votre vie : Tout, chaque endroit ! Il aimerait enlever toute la saleté, nettoyer et ranger chaque endroit, mettre en ordre cette maison et ouvrir toutes les fenêtres pour laisser entrer de l’air frais et de la lumière.
Il aimerait que chaque partie de votre vie soit un endroit où Il aime passer du temps et où Il se sent à l’aise.
Invitez-Le de tout votre cœur à être le Seigneur de chaque partie de votre vie. Avec vos propres mots, dites quelque chose comme ce qui figure ci-dessous :
« Cher Seigneur Jésus Christ,
Je te donne chaque pièce, chaque coin et recoin de la maison de ma vie.
Je te donne volontairement TOUT, car Tu es mon Seigneur et mon Sauveur !
Tu connais tous mes péchés, ma situation et mes dépendances.
Je mets toute ma confiance en toi, le Fils du Dieu vivant. Purifie-moi et fais de ma vie un endroit où tu te sens à l’aise et qui t’honore.
Je m’ouvre à Ton Saint-Esprit et j’aimerais Te suivre tous les jours de ma vie.
Je mets ma confiance en Toi.
Sois, s’il te plaît le Seigneur de toute ma vie ! »
Je te donne chaque pièce, chaque coin et recoin de la maison de ma vie.
Je te donne volontairement TOUT, car Tu es mon Seigneur et mon Sauveur !
Tu connais tous mes péchés, ma situation et mes dépendances.
Je mets toute ma confiance en toi, le Fils du Dieu vivant. Purifie-moi et fais de ma vie un endroit où tu te sens à l’aise et qui t’honore.
Je m’ouvre à Ton Saint-Esprit et j’aimerais Te suivre tous les jours de ma vie.
Je mets ma confiance en Toi.
Sois, s’il te plaît le Seigneur de toute ma vie ! »
Voilà ce que je recommande si vous voulez vivre une vie de victoire !
REINHARD BONNKE
Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus Christ !
1 Corinthiens 15 : 57
1 Corinthiens 15 : 57
Ainsi donc, vous n’êtes
plus des étrangers,
ni des gens du dehors ;
mais vous êtes
concitoyens des saints,
gens de la maison de Dieu.
Ephesiens 2 : 19
plus des étrangers,
ni des gens du dehors ;
mais vous êtes
concitoyens des saints,
gens de la maison de Dieu.
Ephesiens 2 : 19
La prière- une puissance qui change les choses - Reinhard Bonnke
J’aimerais vous encourager à lire le Nouveau Testament en soulignant tous les passages où il est question de prière. Vous découvrirez alors très vite l’importance donnée à la prière. Dans l’Evangile de Matthieu, il y a plus de 40 références à la prière ; dans tout le Nouveau Testament, il y en a 230 et 10 termes différents sont utilisés pour décrire la prière. Il existe de nombreuses méthodes, formes et types de prière – et elles existent afin que nous puissions les utiliser contre toute la puissance de l’ennemi.
Aujourd’hui, dans cette lettre, j’aimerais vous parler de l’intercession. L’intercession est une forme particulière de prière pour les croyants. Mais qu’est-ce exactement ?

Aujourd’hui, dans cette lettre, j’aimerais vous parler de l’intercession. L’intercession est une forme particulière de prière pour les croyants. Mais qu’est-ce exactement ?
L’intercession est une mission spéciale
pour les disciples de Jésus
Les chrétiens sont appelés à accomplir un « travail » bien particulier par leurs prières. Ils ne doivent pas seulement demander des choses pour eux-mêmes mais se tenir sur la brèche devant Dieu pour d’autres. Ceci est un aspect essentiel du mandat que Jésus nous a donné sur la terre. C’est la prière qui met les choses en mouvement dans le monde spirituel. Jésus Lui-même intercède pour nous et nous sommes appelés à Le suivre avec détermination dans ce domaine également.
Cependant, l’œuvre de la prière ne se suffit pas à elle-même ; nous avons besoin de bien plus si nous voulons véritablement entrer dans l’intercession. De Jésus, notre modèle, coulait un immense flot de compassion. C’était la force qui le motivait. La puissance qui habite l’intercession provient d’un sentiment débordant et spontané de compassion et d’amour. Ce sont en général des sentiments très naturels quand il s’agit de notre propre famille et de nos amis, mais il est également bon de permettre au Seigneur de déposer d’autres sujets dans nos cœurs. Si nous avons un fardeau d’intercession sur le cœur, cela signifie que Dieu veut nous confier quelque chose d’important.
« Nous avons auprès de lui cette assurance que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute. Et si nous savons qu’il nous écoute, nous savons que nous possédons la chose que nous lui avons demandée quelle qu’elle soit »
(1 Jean 5 : 14-15).
L’Ancien Testament nous donne des exemples impressionnants de prières. Abraham pria Dieu pour Abimelech et pour les villes de Sodome et Gomorrhe qui étaient destinées à la destruction. Moïse, Salomon, Eli, Ezéchiel, Daniel, Esdras, Esther, Jérémie et beaucoup d’autres prophètes prièrent pour le peuple d’Israël. Il existe même des Psaumes d’intercession dans la Bible.
Les chrétiens sont appelés à accomplir un « travail » bien particulier par leurs prières. Ils ne doivent pas seulement demander des choses pour eux-mêmes mais se tenir sur la brèche devant Dieu pour d’autres. Ceci est un aspect essentiel du mandat que Jésus nous a donné sur la terre. C’est la prière qui met les choses en mouvement dans le monde spirituel. Jésus Lui-même intercède pour nous et nous sommes appelés à Le suivre avec détermination dans ce domaine également.
Cependant, l’œuvre de la prière ne se suffit pas à elle-même ; nous avons besoin de bien plus si nous voulons véritablement entrer dans l’intercession. De Jésus, notre modèle, coulait un immense flot de compassion. C’était la force qui le motivait. La puissance qui habite l’intercession provient d’un sentiment débordant et spontané de compassion et d’amour. Ce sont en général des sentiments très naturels quand il s’agit de notre propre famille et de nos amis, mais il est également bon de permettre au Seigneur de déposer d’autres sujets dans nos cœurs. Si nous avons un fardeau d’intercession sur le cœur, cela signifie que Dieu veut nous confier quelque chose d’important.
« Nous avons auprès de lui cette assurance que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute. Et si nous savons qu’il nous écoute, nous savons que nous possédons la chose que nous lui avons demandée quelle qu’elle soit »
(1 Jean 5 : 14-15).
(1 Jean 5 : 14-15).
L’Ancien Testament nous donne des exemples impressionnants de prières. Abraham pria Dieu pour Abimelech et pour les villes de Sodome et Gomorrhe qui étaient destinées à la destruction. Moïse, Salomon, Eli, Ezéchiel, Daniel, Esdras, Esther, Jérémie et beaucoup d’autres prophètes prièrent pour le peuple d’Israël. Il existe même des Psaumes d’intercession dans la Bible.
L’intercession a la puissance
de changer le cours des choses
Et tant qu’évangéliste, je suis appelé à me tenir devant de grandes foules, mais jamais je n’oserais leur prêcher le message de la Bonne Nouvelle si je n’étais pas sûr qu’il y a eu de l’intercession pour ces gens.
Durant nos campagnes d’évangélisation, mon âme est remplie d’un esprit de prière et d’intercession ; parfois je me lève en pleine nuit. Des centaines et parfois même des milliers d’intercesseurs me soutiennent dans la prière lorsque je suis à l’œuvre sur la plate-forme. Pour mon esprit, cela ressemble à un puissant souffle d’air qui permet à un aigle de s’envoler vers les cimes. Je regarde cette mer humaine devant moi et sais que Satan devra lâcher prise.
En comparaison, dans le monde occidental, seul quelques non-chrétiens s’aventurent à assister à une réunion d’évangélisation. S’ils viennent à ce genre de réunion, c’est souvent parce qu’ils ont été invités par quelqu’un qui a intercédé en leur faveur devant Dieu durant un certain temps et qui a préparé le terrain.
Mais qu’en est-il des gens dans les pays surpeuplés d’Afrique, d’Asie, en Chine, en Inde et en Indonésie ? Combien d’entre eux ont-ils été portés dans la prière devant le Seigneur ? Qui intercède et se tient sur la brèche pour eux, comme nous le lisons dans Ezéchiel ? Ces foules immenses se composent d’innombrables individus uniques et précieux. Ce sont des êtres humains comme vous et moi. Si nous ne prions pas pour eux, qui le fera ?
Nos prières percent les ténèbres d’un monde torturé comme des armes au laser ; elles sont comme des rayons de lumière qui apportent la bénédiction de Dieu sur la terre, transmettant la puissance de Golgotha et la résurrection de Jésus. L’intercession a la puissance de changer les choses qui semblaient inchangeables et de bloquer l’influence qu’aimerait exercer le diable.
« Je cherche parmi eux un homme qui élève un mur, qui se tienne à la brèche devant moi en faveur du pays, afin que je ne le détruise pas ; mais je n’en trouve point » (Ezéchiel 22 : 30).
Si Dieu avait trouvé une telle personne, lorsque Ezéchiel écrivait ce passage, ceci aurait été inévitablement mentionné dans le livre du prophète et son nom aurait été immortalisé. Lorsque nous intercédons, nous nous joignons aux troupes d’élites de Dieu, une armée de guerriers engagés qui sont bien connus au ciel et qui accomplissent de grandes choses.
Et tant qu’évangéliste, je suis appelé à me tenir devant de grandes foules, mais jamais je n’oserais leur prêcher le message de la Bonne Nouvelle si je n’étais pas sûr qu’il y a eu de l’intercession pour ces gens.
Durant nos campagnes d’évangélisation, mon âme est remplie d’un esprit de prière et d’intercession ; parfois je me lève en pleine nuit. Des centaines et parfois même des milliers d’intercesseurs me soutiennent dans la prière lorsque je suis à l’œuvre sur la plate-forme. Pour mon esprit, cela ressemble à un puissant souffle d’air qui permet à un aigle de s’envoler vers les cimes. Je regarde cette mer humaine devant moi et sais que Satan devra lâcher prise.
En comparaison, dans le monde occidental, seul quelques non-chrétiens s’aventurent à assister à une réunion d’évangélisation. S’ils viennent à ce genre de réunion, c’est souvent parce qu’ils ont été invités par quelqu’un qui a intercédé en leur faveur devant Dieu durant un certain temps et qui a préparé le terrain.
Mais qu’en est-il des gens dans les pays surpeuplés d’Afrique, d’Asie, en Chine, en Inde et en Indonésie ? Combien d’entre eux ont-ils été portés dans la prière devant le Seigneur ? Qui intercède et se tient sur la brèche pour eux, comme nous le lisons dans Ezéchiel ? Ces foules immenses se composent d’innombrables individus uniques et précieux. Ce sont des êtres humains comme vous et moi. Si nous ne prions pas pour eux, qui le fera ?
Nos prières percent les ténèbres d’un monde torturé comme des armes au laser ; elles sont comme des rayons de lumière qui apportent la bénédiction de Dieu sur la terre, transmettant la puissance de Golgotha et la résurrection de Jésus. L’intercession a la puissance de changer les choses qui semblaient inchangeables et de bloquer l’influence qu’aimerait exercer le diable.
« Je cherche parmi eux un homme qui élève un mur, qui se tienne à la brèche devant moi en faveur du pays, afin que je ne le détruise pas ; mais je n’en trouve point » (Ezéchiel 22 : 30).
Si Dieu avait trouvé une telle personne, lorsque Ezéchiel écrivait ce passage, ceci aurait été inévitablement mentionné dans le livre du prophète et son nom aurait été immortalisé. Lorsque nous intercédons, nous nous joignons aux troupes d’élites de Dieu, une armée de guerriers engagés qui sont bien connus au ciel et qui accomplissent de grandes choses.
L’intercession – car il n’y a personne d’insignifiant
aux yeux de Dieu.
Chaque être humain a une valeur incomparable. L’intensité de nos prières devrait aller de pair avec l’état désespéré duquel les gens doivent être libérés. Plus ils sont enchainés par le monde, plus notre intercession doit être intense. Personne ne devrait vivre sans avoir quelqu’un qui prie pour elle ou pour lui.
Lorsque nous lisons 1 Timothée 2 : 1-4, nous réalisons que le but ultime et suprême de l’intercession est l’évangélisation. Dieu veut que tous ( !) soient sauvés. Alors prenons d’assaut le trône et prions pour que beaucoup de gens soient sauvés et rachetés !
L’intercession n’est pas un babillage pieux ou des mots vides mais un cri à l’aide venant du cœur. L’intercession n’est pas accomplie et terminée par « Seigneur, bénis-moi et bénis les autres. Amen ! » Notre Seigneur pria avec ferveur pour nous jusqu’à suer du sang. Il pria même pour les soldats qui martelèrent les clous dans Sa chair tremblante. L’intercession demande un engagement, du sérieux et de la fidélité.
Priez pour tous les gens – car vivre sans Christ est une chose terrible. Il n’y a qu’un Sauveur, et si les gens Le rejettent, rien d’autre ne pourra les aider. Que peuvent-ils faire alors ? Il n’y a aucune autre alternative. Voilà pourquoi l’intercession est absolument essentielle.
Chaque être humain a une valeur incomparable. L’intensité de nos prières devrait aller de pair avec l’état désespéré duquel les gens doivent être libérés. Plus ils sont enchainés par le monde, plus notre intercession doit être intense. Personne ne devrait vivre sans avoir quelqu’un qui prie pour elle ou pour lui.
Lorsque nous lisons 1 Timothée 2 : 1-4, nous réalisons que le but ultime et suprême de l’intercession est l’évangélisation. Dieu veut que tous ( !) soient sauvés. Alors prenons d’assaut le trône et prions pour que beaucoup de gens soient sauvés et rachetés !
L’intercession n’est pas un babillage pieux ou des mots vides mais un cri à l’aide venant du cœur. L’intercession n’est pas accomplie et terminée par « Seigneur, bénis-moi et bénis les autres. Amen ! » Notre Seigneur pria avec ferveur pour nous jusqu’à suer du sang. Il pria même pour les soldats qui martelèrent les clous dans Sa chair tremblante. L’intercession demande un engagement, du sérieux et de la fidélité.
Priez pour tous les gens – car vivre sans Christ est une chose terrible. Il n’y a qu’un Sauveur, et si les gens Le rejettent, rien d’autre ne pourra les aider. Que peuvent-ils faire alors ? Il n’y a aucune autre alternative. Voilà pourquoi l’intercession est absolument essentielle.
L’intercession amène l’intervention divine
« Plus de choses sont forgées dans la prière que le monde ne rêve de voir se passer » (Alfred Lord Tennyson). Ceci sonne bien à nos oreilles mais n’est que la moitié de la vérité. L’autre moitié devrait être : « Beaucoup de choses ne sont pas arrivées car de nombreuses personnes n’ont pas prié ce que le monde rêve de voir arriver ».
Beaucoup de prières soi-disant « inexaucées » sont probablement des prières qui n’ont jamais été vraiment priées. Néanmoins, si nous prions pour le Salut d’une nation, nous pouvons être certains d’avoir l’attention immédiate de Dieu car ces prières touchent directement le cœur des choses qui préoccupent le Seigneur.
La prière du Seigneur commence par les mots « Notre Père qui est aux cieux. Que Ton Nom soit sanctifié. Que Ton règne vienne ». Voilà comment chaque prière d’intercession devrait commencer car ce que nous voulons, c’est que Son Royaume arrive. Et toute intercession véritable se termine par les mots « Car c’est à Toi qu’appartiennent la puissance et la gloire au siècle des siècles. Amen ».
« Au reste, frères, priez pour nous, afin que la parole du Seigneur se répande et soit glorifiée comme elle l’est chez vous » (2 Thessaloniciens 3 : 1).
Reinhard Bonnke
« Plus de choses sont forgées dans la prière que le monde ne rêve de voir se passer » (Alfred Lord Tennyson). Ceci sonne bien à nos oreilles mais n’est que la moitié de la vérité. L’autre moitié devrait être : « Beaucoup de choses ne sont pas arrivées car de nombreuses personnes n’ont pas prié ce que le monde rêve de voir arriver ».
Beaucoup de prières soi-disant « inexaucées » sont probablement des prières qui n’ont jamais été vraiment priées. Néanmoins, si nous prions pour le Salut d’une nation, nous pouvons être certains d’avoir l’attention immédiate de Dieu car ces prières touchent directement le cœur des choses qui préoccupent le Seigneur.
La prière du Seigneur commence par les mots « Notre Père qui est aux cieux. Que Ton Nom soit sanctifié. Que Ton règne vienne ». Voilà comment chaque prière d’intercession devrait commencer car ce que nous voulons, c’est que Son Royaume arrive. Et toute intercession véritable se termine par les mots « Car c’est à Toi qu’appartiennent la puissance et la gloire au siècle des siècles. Amen ».
« Au reste, frères, priez pour nous, afin que la parole du Seigneur se répande et soit glorifiée comme elle l’est chez vous » (2 Thessaloniciens 3 : 1).
Reinhard Bonnke
La prière d'Esaïe exaucée - Daniel Kolenda
Nous trouvons l’une des prières d’intercession les plus remarquables de la Bible dans Esaïe 64 où le prophète invoque le Seigneur en disant : « Oh, si tu déchirais les cieux, et si tu descendais, les montagnes s’ébranleraient devant toi. Comme s’allume un feu de bois sec, comme s’évapore l’eau qui bouillonne ; tes ennemis connaîtraient ton nom, et les nations trembleraient devant toi » (Esaïe 64 : 1-2).
Esaïe supplie Dieu de « déchirer » les cieux et de se révéler au monde afin que le monde Le voie tel qu’il L’a vu ! La passion du prophète transparaît dans l’interjection : « Oh ! ».
Dans sa prière à Dieu « de déchirer les cieux et de descendre », je crois qu’Esaïe faisait référence à une expérience antérieure de sa vie que nous trouvons dans Esaïe 6 : 1-8, où il eut une vision du ciel dans laquelle il reçut l’onction et l’appel pour sa vie et son ministère prophétique. Il en fait le récit suivant : « L’année de la mort du roi Ozias, je vis le Seigneur assis sur un trône très élevé, et les pans de sa robe remplissaient le temple » (Esaïe 6 : 1).
Il continue la description de son expérience de la présence de Dieu dans les versets suivants en parlant des êtres angéliques qui entourent le trône de Dieu et crient les uns aux autres : « Saint, saint, saint est l’Eternel des armées ! Toute la terre est pleine de sa gloire ! » (Verset 3). Il raconte aussi la manifestation visible de la gloire de Dieu et sa prise de conscience de son péché en présence de la sainteté de Dieu. Il était certain de mourir dans cet endroit, mais il y découvrit aussi la grâce et son péché fut effacé par le feu sacré. Sa vie et sa destinée furent changées à jamais. Il ne fut plus jamais le même !
Si vous prêtez attention aux paroles des anges, vous remarquerez qu’ils ne disent pas : « Le ciel est rempli de Sa gloire » mais « La terre est remplie de Sa gloire ». C’était une vision prophétique d’un temps à venir à propos duquel les Ecritures annoncent : « Car la terre sera remplie de la connaissance de la gloire de l’Eternel, comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent » (Habacuc 2 : 14).
Lorsqu’Esaïe demanda à Dieu de déchirer les cieux et de descendre, il priait pour l’accomplissement de la promesse prophétique qu’il avait reçue dans sa vision bien des années auparavant. Il disait en fait : Seigneur, pour que la terre soit remplie de Ta gloire, il faut que Tu déchires les cieux et que Tu descendes ! ». Esaïe se rendait compte que pour l’accomplissement du plan de Dieu pour le monde, il fallait que le ciel s’ouvre et que le Seigneur vienne.
Il est la fin de toute théologie.
Il est la raison de toute généalogie.
Il est au cœur de toute prophétie.
Sa venue a séparé l’Histoire en deux parties et a absolument tout changé !
Beaucoup de personnes continuent à adresser à Dieu la prière d’Esaïe et Lui demandent de déchirer le ciel et de descendre, Le suppliant comme un mendiant pour obtenir un morceau de pain. Mais mes amis, la bonne nouvelle est que cette prière d’Esaïe a été exaucée il y a plus de 2 000 ans !
Dieu a véritablement déchiré les cieux et est descendu sur terre en la personne de Jésus Christ. Existe-t-il une déchirure plus théâtrale que celle qui arriva à Golgotha ?
Dieu a déchiré les cieux et est descendu sur terre. Il a détruit cette ancienne barrière entre le ciel et la terre et aujourd’hui, toutes les richesses et ressources de Dieu sont à la portée de celui qui s’en emparera avec foi au moyen de la prière.
Hébreux 10 : 19-22 déclare : « Ainsi donc, frères, puisque nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire par la route nouvelle et vivante qu’il a inaugurée pour nous au travers du voile, c’est-à-dire, de sa chair, et puisque nous avons un souverain sacrificateur établi sur la maison de Dieu, approchons-nous avec un cœur sincère, dans la plénitude de la foi, les cœurs purifiés d’une mauvaise conscience, et le corps lavé d’une eau pure ».
Dieu aimerait que nous nous approchions de Lui par la prière avec assurance et une confiance entière dans sa provision parfaite. Aujourd’hui, nous pouvons entrer avec audace dans la présence de Dieu, avec une conscience pure et un cœur rempli de foi, en sachant que Dieu a déjà détruit tout ce qui fait obstacle entre Lui et nous par le Sang de Jésus Christ. Il nous a réellement donné les clés du Royaume des Cieux.
Voilà le véritable message de Noël ! La prière d’Esaïe a été exaucée. Le Seigneur est descendu. Il est devenu l’un de nous ! Il vint en personne – pour vous et moi. Quelle vérité merveilleuse !
Daniel Kolenda

Esaïe supplie Dieu de « déchirer » les cieux et de se révéler au monde afin que le monde Le voie tel qu’il L’a vu ! La passion du prophète transparaît dans l’interjection : « Oh ! ».
Dans sa prière à Dieu « de déchirer les cieux et de descendre », je crois qu’Esaïe faisait référence à une expérience antérieure de sa vie que nous trouvons dans Esaïe 6 : 1-8, où il eut une vision du ciel dans laquelle il reçut l’onction et l’appel pour sa vie et son ministère prophétique. Il en fait le récit suivant : « L’année de la mort du roi Ozias, je vis le Seigneur assis sur un trône très élevé, et les pans de sa robe remplissaient le temple » (Esaïe 6 : 1).
Il continue la description de son expérience de la présence de Dieu dans les versets suivants en parlant des êtres angéliques qui entourent le trône de Dieu et crient les uns aux autres : « Saint, saint, saint est l’Eternel des armées ! Toute la terre est pleine de sa gloire ! » (Verset 3). Il raconte aussi la manifestation visible de la gloire de Dieu et sa prise de conscience de son péché en présence de la sainteté de Dieu. Il était certain de mourir dans cet endroit, mais il y découvrit aussi la grâce et son péché fut effacé par le feu sacré. Sa vie et sa destinée furent changées à jamais. Il ne fut plus jamais le même !
Si vous prêtez attention aux paroles des anges, vous remarquerez qu’ils ne disent pas : « Le ciel est rempli de Sa gloire » mais « La terre est remplie de Sa gloire ». C’était une vision prophétique d’un temps à venir à propos duquel les Ecritures annoncent : « Car la terre sera remplie de la connaissance de la gloire de l’Eternel, comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent » (Habacuc 2 : 14).
Lorsqu’Esaïe demanda à Dieu de déchirer les cieux et de descendre, il priait pour l’accomplissement de la promesse prophétique qu’il avait reçue dans sa vision bien des années auparavant. Il disait en fait : Seigneur, pour que la terre soit remplie de Ta gloire, il faut que Tu déchires les cieux et que Tu descendes ! ». Esaïe se rendait compte que pour l’accomplissement du plan de Dieu pour le monde, il fallait que le ciel s’ouvre et que le Seigneur vienne.
Il est la fin de toute théologie.
Il est la raison de toute généalogie.
Il est au cœur de toute prophétie.
Sa venue a séparé l’Histoire en deux parties et a absolument tout changé !
Il est la raison de toute généalogie.
Il est au cœur de toute prophétie.
Sa venue a séparé l’Histoire en deux parties et a absolument tout changé !
Beaucoup de personnes continuent à adresser à Dieu la prière d’Esaïe et Lui demandent de déchirer le ciel et de descendre, Le suppliant comme un mendiant pour obtenir un morceau de pain. Mais mes amis, la bonne nouvelle est que cette prière d’Esaïe a été exaucée il y a plus de 2 000 ans !
Dieu a véritablement déchiré les cieux et est descendu sur terre en la personne de Jésus Christ. Existe-t-il une déchirure plus théâtrale que celle qui arriva à Golgotha ?
Dieu a véritablement déchiré les cieux et est descendu sur terre en la personne de Jésus Christ. Existe-t-il une déchirure plus théâtrale que celle qui arriva à Golgotha ?
Dieu a déchiré les cieux et est descendu sur terre. Il a détruit cette ancienne barrière entre le ciel et la terre et aujourd’hui, toutes les richesses et ressources de Dieu sont à la portée de celui qui s’en emparera avec foi au moyen de la prière.
Hébreux 10 : 19-22 déclare : « Ainsi donc, frères, puisque nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire par la route nouvelle et vivante qu’il a inaugurée pour nous au travers du voile, c’est-à-dire, de sa chair, et puisque nous avons un souverain sacrificateur établi sur la maison de Dieu, approchons-nous avec un cœur sincère, dans la plénitude de la foi, les cœurs purifiés d’une mauvaise conscience, et le corps lavé d’une eau pure ».
Dieu aimerait que nous nous approchions de Lui par la prière avec assurance et une confiance entière dans sa provision parfaite. Aujourd’hui, nous pouvons entrer avec audace dans la présence de Dieu, avec une conscience pure et un cœur rempli de foi, en sachant que Dieu a déjà détruit tout ce qui fait obstacle entre Lui et nous par le Sang de Jésus Christ. Il nous a réellement donné les clés du Royaume des Cieux.
Voilà le véritable message de Noël ! La prière d’Esaïe a été exaucée. Le Seigneur est descendu. Il est devenu l’un de nous ! Il vint en personne – pour vous et moi. Quelle vérité merveilleuse !
Daniel Kolenda
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